Chapitre 1 : Le patrimoine !


Résumé >( Depuis la fin de la dernière guerre Sainte, les choses ont bien changé et bougé de façon parfois surprenante.
Le 6 avril : Au milieu de la journée, Athéna et les quatre chevaliers de sa garde rapprochée, accompagnés de l'armure divine de Pégase déserte du corps de Seiya sont revenus de l'élision au monde des vivants. Le corps meurtri de celui-ci au moment du retour sur terre avait disparu sans laisser de trace. Cela troubla tout le monde et encore plus particulièrement Saori qui incarne la déesse Athéna et de ce faite, elle se morfondait de n'avoir rien put faire pour ramener sa dépouille des griffes du royaume des ténèbres ou de retrouver les supposés kidnappeurs de celui-ci ! Un terrible doute planait dans tous les esprits ! 'Où est le corps du chevalier Pégase' ? 'Que lui est-il arrivé et serait-il toujours en vie, même après ce terrible coup d'épée au niveau du cœur ! Si oui, pourquoi ne revient-il pas ? !
Le 7 avril : Immédiatement après l'annonce de la mort de Mû, Marine décida de prendre Kiki chez elle et de le soutenir moralement dans cette terrible épreuve. Ils remplissaient mutuellement le vide qu'ils ressentaient depuis la disparition d'un mentor et en même temps que le décès d'un intrépide disciple. Ensemble, ils essayent de résoudre les énigmes entourant la disparition du cadavre de ce dernier.
Du 6 au 13 avril : Pendant cinq jours et trois nuits, Athéna soigna ''grâce à son cosmos et aux bons soins des médecins de la fondation kido'' tous les blessés et mutilés.
Du 7 au 14 avril : Elle donna l'ordre à la fondation et aux personnes les plus valides du sanctuaire de parcourir le globe à la recherche de Seiya et de revenir si possible dans la journée du premier mai à 18h à l'Acropole d'Athènes, afin de faire un recoupement des recherches fructueuses ou non de chacun.
Le 11 avril : Dans la soirée, Athéna fit revenir sur terre les douze armures d'or !
Le 19 avril : Durant sept jours Kiki quant à lui répara toutes crols, en ce qui concerne box ce fut tant bien que mal. Eh oui une sorte d'infortune avait frappé certaines pandoras box, qui devenaient noires sans aucune raison apparente... Ainsi en étaient les choses et la date dite ariva ! )

Grèce : Vendredi 1er mai 1987 : 7H40 du Matin, Athènes sanctuaire. Domicile de Marine.

Kiki : C'est plus fort que moi, je suis dépassé par le boulot, de plus ces douleurs à la tête vont me rendre fou, oui complètement fou ! Quatre jours que cela dure ! QUATRE, OUI QUATRE JOURS QUE CA DURE, JE N'EN PEUX PLUS ! J'EN AI MARRE ! J'en ai plus que mare !

A ces mots, il fondit en larmes. En l'entendant hurler son désespoir, Marine le prit dans ses bras et lui dit d'une voix douce.

Marine: Tout doux Kiki, calme-toi, je vais demander à Athéna si elle peut t'aider à te soulager!
Kiki : Oh, oui ! Ok, merci Marine. Aïe ! La vache, bonjour les lancements !
Marine : Ça peut aller ?
Kiki : Oui, oui, j'en ai vu d'autres tu sais ! Aie, aie, ouille !
Marine : Le pauvre, d'abord il perd son maître, puis ces étranges migraines qui l'ont frappé juste après la grande éclipse. Bizarre tout de même ? Shiryu que fais-tu ici ? Entre, je t'en prie !
Shiryu : Merci Marine ! Salut Kiki, je suis venu prendre de tes nouvelles, Comment vas-tu ?
Kiki : Salut ! Ça pourrait être pire, je ne me plains pas ! Ouille, ouille ! Ma pauvre tête.
Marine : Et mon " Bonjour " alors il vient quand ?
Kiki : Marine ? Tu es jalouse ou quoi ?
Shiryu : Ah oui, bonjour Marine !

Marine, Shiryu et Kiki éclatèrent en fou rire. Ils reprirent leur sérieux quelques minutes plus tard.

Shiryu : Ce n'est pas tout, je dois y aller. Marine, dois-tu te rendre à la grande salle ? J'y suis convoqué par Athéna ! Veux-tu m'accompagner ?
Marine : Oui merci, j'allais te le proposer. Kiki, tu nous… où est-il encore passé ? Sors de ta cachette, je n'ai pas le temps de jouer !
Shiryu : Mm…. ? Il est dehors avec une bonne avance.
Kiki : Alors, vous traînez tous les deux !
Marine : KIKI, ARRÊTE DE FAIRE LE MARIOLE ! Tu vas le sentir passer, viens ici.
Kiki : Tu ne m'auras pas !

Il lui tira la langue et se mit à courir dans toutes les directions. Marine, mécontente de la conduite de ce plaisantin, sortis rapidement de la maisonnette afin de le remettre dans son lit ! L'ordonnances du médecin est claire, du temps et du repos ! Marine, en lui courent après, fut à un doigt de l'avoir quand celui-ci se volatilisa en se téléportant à cinq mètres plus loin et la nargua !

Kiki : Houps raté ! Non, non je suis là, non ici ou bien là ou encore ici. Tu te traînes ! Hé, hé, hé ! Houps encore raté !
Marine : Ma parole il se fiche de moi, FIGE-TOI DEUX SECONDES ET TU AURAS DROIT À UNE BONNE FÈSSÉE !
Kiki : Là, tu rêves, cours toujours ! Raté ! Tu ne m'auras jamais.
Marine soupira : Il est pire que Seiya à son âge !
Shiryu : Ha ! Ah ! Ah ! Il va regretter de faire le singe, se téléporter ainsi dans son état, ce n'est pas sérieux.
Kiki : … !!

Quand soudain Kiki s'écroula à terre..., Shiryu qui les avait suivit à distance se précipita aux pieds de celui-ci ! Marine se tint à un bon mètre plus loin et à court d'haleine, elle courba la tête et le tronc en avant, les mains posées sur les genoux et ainsi récupère un peu de son souffle.

Shiryu : Que lui arrive-t-il ?
Marine essoufflée : Oh rien ! Il est… exténué et… moi aussi, ( cela dit pour un malade, notre poil de carotte est une vraie sauterelle ) je te …demande deux… minutes, le temps de reprendre …mon souffle.
Shiryu : Je m'en doutais un petit peu. Laisse-moi le porter jusque là !
Marine essoufflée : Merci, ce n'est …pas de refus, …il m'a… épuisée.
Shiryu : Oh regard ! Nous avons fait la moitié du chemin dans la direction des demeures des chevaliers d'or ! Continue-t-on dans cet itinéraire ?

Marine encore à court d'haleine et toujours cambrée, donna son consentement d'un geste de la main droite.

Marine essoufflée : Pff…oui ! Passe…devant, pffiou…je te rattrape dans…une minute!

La minute écoulée, Marine rattrapa Shiryu qui marchait lentement exprès afin de ne pas réveiller Kiki dorment d'un sommeil réparateur. Chemin faisant, nos amis se turent jusqu'aux dernières marches qui mène à la demeure du bélier.

Shiryu : Marine, tu es bien soucieuse ?
Marine : Je me tracasse pour lui, il devient de plus en plus faible, ces maux de tête violents l'empêchent de dormir normalement. D'avoir à lutter contre cette souffrance persistante l'épuise ! De plus, il se tracasse pour les box, ils ne se régénèrent pas comme d'habitude. Il y a quinze jours, il ne dormait pas dans le but de réparer les box atteints par un mal insolite !
Shiryu : Les box ? Donc, il se fait du souci. Ça ne va pas arranger les choses !
Marine : Comme tu dis, ça va de plus en plus mal, pauvre poil de carotte. Ne lui dit pas que je l'ai traité de poil de carotte. Sinon, il va s'arranger pour me rendre chèvre avec sa Télékinésie ! Tu me le promets ?
Shiryu : Bon, bon d'accord, je te le jure de ne rien lui dire !
Marine : Ouf ! Sauvée, merci. Pour te rem…
Shiryu : Chut ! Taisons-nous, nous risquons de le réveiller !

10H Maison du Bélier.

Marine : À parler de tout et de rien, nous sommes arrivés dans la maison du Bélier, regarde ce que je te disais !
Shiryu : Ah ! Je vois qu'il se débrouille tant bien que mal pour réparer vos armures. Son maître ne lui avait certainement pas enseigné tous les secrets sur leur restauration.
Marine : C'est le pourquoi de son tracas.
Shiryu : Mû, lui-même m'avait confié qu'il peinait sur les Box.
Marine : Apparemment, les secrets de leurs réaménagements se sont perdus dans les limbes des âges anciens.
Kiki : Vous avez tout compris ! Mû ne m'a pas enseigné certains points concernant les Pandora Box. Tout ce que je peux te dire, c'est que la récupération normale est due aux qualités vitales d'une ''Armure''. Plus simplement, si une armure reçoit une surdose de coups mortels, elle périt ou bien, guérit ses traumatismes grâce au complément d'énergie positive de son urne ! Évidemment, tout dépend de la matière de l'armure, donc si elle est en or, elle absorbe plus qu'une en bronze !
Shiryu : En d'autres termes, ce sont les Pandora Box qui n'agissent plus normalement.
Marine : Depuis combien de temps es-tu réveillé ?
Kiki : Depuis l'histoire de poil de carotte. Mais bon tu as de la chance que Shiryu me retient, sinon …
Marine : Sinon quoi ?
Shiryu : Vous n'allez pas recommencer.
Kiki : Oh, non ne t'en fais pas ! Rien Marine, je plaisante. Tu me le payeras plus tard.

Kiki dévisageait Marine d'un air rancunier du genre 'toi, je t'aurai' !

Marine : J'aime mieux ça ! Tu deviens irritable et …
Shiryu : Chut ! Chut ! Je vous en prie, taisez-vous! Vous n'entendez rien d'étrange ?
Marine : Quoi ? Que me veut-il encore ?
Kiki : Mais ! Vraiment plus tard ! Tu me le payeras !
Marine : …? ! Mais que me veut-il à la fin du compte?
Kiki : M….. ? ! Tu ne paies rien pour attendre !
Shiryu : …Heu herum!
Marine : Oh ! Pardon Shiryu ! Tu disais ?
Shiryu : Je disais, vous n'entendez rien de bizarre ?
Marine : Non, je n'entends rien, qu'as-tu remarqué d'anormal?
Shiryu : Quelqu'un chuchote une litanie ! Une sorte d'incantation chantée ou prière fredonnée ! Je la discerne faiblement ! D'où ce a peut-il bien provenir !
Kiki : Moi aussi Je l'entends ! Et toi Marine ?
Marine : Moi pas du tout, mais par contre, Kiki, de ton brassard émanent des ondes lumineuses.
Kiki : Il me grille le bras, c'est une horreur ! Aidez-moi à le retirer de mon bras, vite ! Vite !
Shiryu : Ne bouge pas tant !
Kiki : Tu en as d'autres comme ça ! C'est facile à dire, ce n'est pas toi qui le porte. Enlevez-le-moi de suite ça devient intenable !
Shiryu : Pour ta sauvegarde, je vais le sectionner, ne bouge plus d'un pouce ! ''Une fois de plus, le cadeau de Shura va m'être d'un grand secours''. ''Excalibur'' !
Marine : Non pas ça ! Son brassard crépite, il va exploser!

La secousse se fit ressentir dans tout le sanctuaire et dans la vallée d'Athènes, suivit de trois flashs de couleur or, une colonne de lumière blanche et or s'éleva, partant de la maison du Bélier, pour former un globe d'énergie, une sorte de sphère d'éclairs. Elle se divisa en flèches de lumière opposées les unes aux autres. Quinze partirent aux quatre vents, deux s'abattirent sur la maison de la Vierge et un sur le temple d'Athéna. Puis plus rien, sauf un léger grondement dans le champ des arbres de Twin Sal.

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Quelque part dans un monde parallèle au nôtre, en dehors de l'espace et du temps !

Inconnu 1: Depuis le temps qu'on l'avait prévu… !
Inconnue : Ce moment est si tendre à mon cœur, que je vais…

L'inconnue n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un homme âgé d'une quarantaine d'années lui coupa court et net sa joie.

Inconnu 2 : Mon ange, ne te réjouis pas trop vite, ils ne pourront point nous aider à sortir de cette dimension intemporelle !
Inconnu 1 & Inconnue : COMMENT CA! TU VEUX DIRE QUE … ?
Inconnu 1 : Hou-hou ! Grand-père ? Grand-père…?
Inconnue : Heu ! Ne crois-tu pas qu'il est mort ?

Durant d'interminables secondes d'inquiétude, nos deux jeunes gens se regardèrent, des sueurs froides leur parcouraient le dos. Le grand-père ne respirait et ne bougeait plus. Quand tout à coup !

Le grand-père : Rrrzzz, rronzzz, rrrooonnnzzzzzzz.

La surprise était telle, qu'ils en tombèrent à la renverse !

Inconnue : Je n'y crois pas, l'heure est grave et il dort!
Inconnu : Je souffle enfin ! NON, NON, SOEURETTE PAS CELA !
Inconnue : Une pichenette sur le crâne et une. Un, deux, trois, DEBOUT LA DEDANS !

D'un coup, le grand-père s'aplatit sur le sol et rebondit, retomba un bon mètre plus loin, il se réveilla et se releva aussitôt.

Le grand-père : Même pas mal ! Tu va voir ! Yora, je t'aurai au tournant !

Une petite larme coulait au coin de l'œil du papi et un gros cochon apparaissait sur le haut son crâne. Yora chuchota discrètement à l'oreille de son frère.

Yora : " Je voulais juste voir si… , et comme il nous joue toujours des blagues de ce style. "

Tandis que Yora chuchotait à l'oreille de son frère, le grand-père se rapprochait discrètement d'elle !

Le frère : Sœurette, tu vas le regretter dans cinq, quatre, trois, deux, un, bouche-toi les oreilles!
Le grand-père : ÇA NE VA PAS LA TETE ! YORA, TU N'AS PLUS AUCUN RESPECT POUR LES ANCIENS !
Le frère : Franchement, Yora avec le temps, tu deviens de plus en plus charmante !!

En prononçant ses mots, le frère avait un sourire en coin plutôt narquois que complice.

Yora : Toi, frérot ça suffit ! Pardon grand-père, mais là, tu te paies nos têtes et de plus, faire le pitre ; à ton âge, ce n'est pas sérieux.
Le grand-père : Mon ange, tu démarres toujours au quart de tour ! Mais, ce n'est pas une raison pour m'avoir frappé de la sorte. Tu auras un de ces jours des ennuis! Oui mais, tu as de bons réflexes, fofolle va !

Le grand-père lui tira une langue et elle lui fit un pied de nez !

Le frère : Des vrais gamins quand ils s'y mettent ! Vous avez fini de faire des plaisanteries douteuses ! Dans moins de 999 Jours, ils mettront tout à feu et à sang ou pire encore !
Le grand-père : Désolé, mais quand je vous vois aussi tendus, cela a le don de me faire réagir comme un bouffon.
Le frère : Tu n'as rien d'autre à ajouter ?
Le grand-père : Oui, je ne suis pas heuuu….. !

Ryo, le regarda de travers. Ses yeux sombre de contrariété le fixai, du coup raisonnable changea d'avis avant la fin de sa réplique.

Le grand-père : J'ai honte de moi-même, je suis trop vieux pour ces gamineries ! Je laisse tomber, tu as raison !
Yora : Je te remercie de nous rappeler que dans moins de 3 ans, nous devons réussir ou mourir !
Le grand-père : Ah, oui ! J'allais l'oublier.

Le grand-père sortit deux besaces de son baluchon.

Yora : Bon, ceci ne peut continuer ! Hé ! Dis, où as-tu eu ça grand-père ?
Le grand-père : Peu importe, mangez un peu de leurs contenus et ne posez pas de question !
Le frère : Ce goût me rappelle mon enfance ! Par exemple ?
Le grand-père : Oui, tout à fait !
Yora : Tu n'en manges pas grand-père ?
Le grand-père : Non, non, j'en ai déjà mangé.
Le frère : Je me sens dans une forme olympique ! Hein, qui va là, non pas vous ! Haaag !
Yora : Non, ce n'est pas vrai, vous ici ! Vous ne m'aurez pas si facilement que mon frère ! En garde ! Dépêche-toi grand-père, je n'ai aucune chance face à ces trois monstres.

Yora fit un signe de la main comme pour inviter les deux autres assaillants à la suivre, elle fit un bond en arrière puis commença à courir sur la paroi rocheuse qui surplombe la scène du drame.
En haut de la paroi, Yora stoppa et resta pour les narguer une bonne fois pour toutes en ricanant :

Yora : Hé ! Vous, en-bas, la TRIBU DE CRABES ! Suivez-moi si vous le pouvez ? BANDE DE ZÉROS ! Courez si vous le pouvez !
Inconnu 3 : Courez-lui après ! Si elle nous échappe, vous savez ce qui nous attend ! Je m'occupe de ce morveux et du croulant ! Aïe ! Il y a des moustiques dans le coin, je vous rejoins bientôt ! Qu'attendez-vous ?
Yora : Ils ont PEUR D'UNE FILLE, LES GENTILS ''PRIMATES''.
Inconnu 3 : Là, elle est morte, ils ne vont pas la rater !
Inconnu 2 : Hé, l'autre ! J'hallucine, comme elle nous parle !
Inconnu 1 : Ha, ha ! Laisse-moi rire, une femme n'a aucune chance contre nous !
Inconnu 2 : Elle est folle, un point c'est tout. Je sens qu'on va bien s'amuser avec elle ! Hoouha hah, ha, hah !
Inconnu 1 : On y va ! Go!

Le grand-père, une fois les deux hommes partis, retira subtilement son petit-fils des pattes du troisième inconnu.

Inconnu 3 : Où est-il passé ? Il y a deux secondes, j'écrasai son crâne. Hein ! L'ancêtre, depuis quand tu lui...?
Le grand-père : Je ne parle pas la langue des crétins de ton genre.
Inconnu 3 : HÉ, L'ANCÊTRE, JE NE T'AUTORISE PAS À M'INSULTER DE LA SORTE ! TU ME FATIGUES, RENDS MOI CE PETIT NIGAUD ! QUE JE L'ACHEVE ET PUIS TOI ENSUITE POUR M'AVOIR TEN…!

Le grand-père leva sa main à hauteur de son nez et la remua de gauche à droite !

Le grand-père : Ne crie pas, ton haleine et ton odeur surchargent mes allergies, débarrasse le planché !
Inconnu 3 : Grrrrrr ! Vieux bouc tu me casses les pieds ! ÇA SUFFIT !!

Le troisième inconnu concentra son cosmos et une masse incandescente l'entoura.

Inconnu 3 : TU N'AURAIS PAS DU ENCORE M'INSULTER ! MEURS ''Lave infernale'' !
Le gand-père : Oh, oh ! Tu as pris du galon on dirait !

Sur le visage du grand-père se dessina un ample et large sourire amusé.

Inconnu 3 : Tous les deux, vous êtes cuit ! Hein ! Qu'as-tu à sourir bêtement ?
Le grand-père : Non, je ne crois pas !

L'offensive frappa de plein fouet et une explosion à l'impacte eu lieu et … !!

Inconnu 3 : Quoi ? C'est dingue ! Comment fais-tu ça ? Il contient tout le flux de mon attaque avec une sorte de champ de force noir entourant son genou droit et le reste de l'environnent vital du bandit !
Le grand-père : Surpris ! Tu ne t'attendais pas à ceci ! Mais mon grand, moi, je dispose de l'expérience et toi tu es trop lent et stupide ! Tu n'as pas remarqué ?
Inconnu 3 : Trop lent ? Stupide ? Remarqué quoi ? TU M'INJURIES ENCORE ! Que m'arrive-t-il ? Je suis paralysé ?

L'inconnu commença à ce débattre avec exaspération sans pouvoir déplacer un millimètre de muscle !

Le grand-père : Et oui ! Crâne de piaf, tu te souviens de la piqûre de tantôt, c'était moi ! En fait, c'était une offensive discret ! Je t'ai bloqué les nerfs à plus de 89%, évite de penser ! Déjà, en temps normal tu n'as pas beaucoup de perspicacité.
Inconnu 3 : Ha, ha, ha ! Je m'en fous de tes bobards ! Le piège est tendu, je n'ai que deux mots à dire, et adieu le vieux et la petite racaille que tu tiens si précieusement!
Le Grand-père : Mmm… J'ai saisi ! C'est donc une attaque en deux temps ! Il n'est pas si bête après tout !
Inconnu 3 : Hé, hé, oui ! Il y a un peu de ma Lave infernale est sur ta jambe. Je te maudis toi et ta clique. Vous allez mourir dans des souffrances inouïes. …'''Lave trappe ''' !

Les yeux de l'inconnu luirent d'une lueur rougeâtre !

Les flammèches éparpillées sur le sol et sur la jambe du grand-père tournoient à présent autour d'eux de façon menaçante. Elles grossissent pour former chacune des brasiers aussi brûlants que les flammes d'un volcan. Elles finissent par se resserrer et se fixer sur les pauvres bougres pour mieux les incendier.

Le gand-père : Je m'en doutais ! Je vais te restituer ton pitoyable cadeau avec des intérêts.
Inconnu 3 : Mon attaque, la plus puissante, tu me la renvois ? Impossible ! La douleur te fait déjà délirer !

Au milieu de cette fournaise un cosmos et une voix se firent entendre ! Les turbulences flamboyantes s'écartèrent des corps du grand-père et de Ryo !

Inconnu 3 : Quoi ! Il la bloque de nouveau, mais avec une différence par rapport à tantôt !
Le gand-père : Si, si tu va voir ''Ki Contre attaque'' ! " 1e vague " LAVE INFERNALE. " !
Inconnu 3 : Aïe, aïe ! La vache, ça brûle ! S'il ne renvoit pas la deuxième, j'ai encore une chance de filer…… NON, NON PAS ÇA !
Le grand-père : Trop tard, du balai ! " 2e vague " LAVE TRAPPE. " !
Inconnu 3 : Je ne veux pas mourir…Haaaa…

Le guerrier était assurément hors d'état de nuire. Le grand-père posa Ryo sur le sol et fit un point de pression sur la nuque de son petit-fils, ce qui le fit revenir très vite à lui !

Le grand-père : Ryo ? Ryo, tu m'entends ? Fiston, reviens à toi !
Ryo : Mmmmmm grand-père ? L'adversaire m'a donné un coup en traître, je n'ai rien vu venir.
Le grand-père : Je suis abasourdi qu'on ne les aient pas senti arriver, ils n'ont aucunement un niveau très haut ! Fiston comment te sens-tu ?
Ryo : Je me sens comme du petit bois, mais apparemment, ça va.
Le grand-père : Tu en es certain ?
Ryo : Oui, oui ! Ca va, te dis-je, tu n'as pas besoin de me materner !
Le grand-père : Ok, ok, J'ai compris ! Dépêchons-nous, ta sœur se bat contre deux autres guerriers là-bas.
Ryo : Mm….. ?
Le grand-père : Ryo, je te demande une seconde le temps d'observer où Yora se trouve !

Le grand-père fit un tour d'horizon de la tête quand …

Le grand-père : Quoi…? Je tourne le regard une seconde et pfut il n'est plus ici ! Où te camoufles-tu encore ? RYOOO ? Ryoo où te planques-tu ?

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A huit cents mètres de distance de la position du grand-père.

Inconnu 1 : Elle cogne dur, cette teigne ! Cette femme n'est pas normale !
Inconnu 2 : Par rapport à son frère, elle nous donne du fil à retordre. Elle a bien un point faible ? Mais lequel ?
Inconnu 1 : Je ne sais pas, par contre, son coup de pied a fendu ton Héraisse de l'esprit noir comme du papier.
Inconnu 2 : J'ai eu chaud lors de la dernière charge, elle a encaissé mon attaque comme une caresse et me l'a rendu deux fois plus forts. Comme si elle l'avait apprise à vitesse V V', c'est stupéfiant !
Yora : Mes côtes me font un tantinet souffrir, ce Grandix, il ne m'a pas raté. Il vaudrait mieux en finir rapidement ! Avant que… ! Allez ; approchez maintenant, vous en aurez pour votre matricule ! ''Fiat lux''

Yora concentra son cosmos tout en s'élevant dans les air et une énorme sphère aveuglante d'une dizaine de mètres l'engloba !

Inconnu 1 : Elle bluffe, ce n'est qu'une ruse de plus !
Grandix : En avant Radja ! ''Démognos crache''
Radja : Je te suis ! ''Moon arcade''

Les deux guerriers se ruèrent sur elle, la rage au ventre.

Yora : C'est parti ! ''Fulgurance Frappe'' !

On entendit un vrombissement suivi de deux bruits d'impact. Alors, deux formes sortirent du globe de lumière et se fracassèrent sur le sol.
Ryo arriva sur cet entrefaite.

Ryo : A voir le résultat, l'entraînement qu'elle s'est imposée ces treize dernières année, a bien porté ses fruits. Coucou Yora ! Tu vas bien ?
Yora : Ryo ? Oui, ça va ! Depuis quand te trouves-tu là ?
Ryo : Aussitôt que grand-père m'a remis sur pied!
Yora : Tu n'as rien ?
Ryo : Non, ça va. Je vais aussi bien qu'il y a deux ou trois cents ans.
Yora : Hé, hé ! Tu pousses un peu.
Ryo : Non, non je suis en pleine forme.

Sous les décombres du crash, tout le monde ne semble pas hors combat.

Radja : Quelle puissance ! Je l'ai échappé de justesse. Je sors d'ici comment ?
Ryo & Yora: Mm… ?!
Radja : Oui c'est ça, ne regardez pas par ici. Le temps qu'ils ont le dos tourné, je me bar de là. '' Fi-Luxi transfère''. Zut raté ! Je recommence '' Fi-Luxi transfère''. Super, je suis quand même en dehors des décombres ! Re-zut ! Ils m'ont repéré.
Yora : L'as-tu senti ?
Ryo : Oui ! Où, comptes-tu aller ?
Radja : Pour filer à l'anglaise, c'est loupé !

Ryo fit craquer sa nuque en pointant du doigt Radja !

Ryo : Toi je te retiens pour tout à l'heure !
Yora : Dis donc, tu me dois toujours une DANSE !!!
Radja : Gloups ! Nulle part man! Du calme la gaza, tout doux ! Je….
Ryo : BOUCLE-LA !
Radja : Purée, je suis cuit ! Il n'a pas oublié le coup en traître de tantôt !
Ryo : TU DEGAGE TROP D'ÉNERGIE POUR PASSER INAPERCU, SOMBRE DANS TON AFFLIGEANTE BETISE !
Yora : Ryo !

Yora fit un clin d'œil à son frère ; Comme pour lui dire ''on y va'' !

Radja : Ca va barder, je vais m'en prendre plein la face ! Du calme les gars, cool !
Ryo : Non pas cool du tout ! Tu va voir ce que tu vas voir !

Ryo devint plus sombre, se concentra et sauta en l'air, forma une masse d'énergie sur son bras droit et plongea en piqué vers le sol.

Ryo : ''Explosion Tectonique''

Une foix le sol touché, Ryo se catapulta sur le côté à six mètres de distance et de ce fait, évita sa propre décharge d'énergie ! Son attaque fit exploser la roche et éjecta Radja ainsi que les rocs dans les airs.

Radja: Super ! Man ! Cool Rasta, je plane !
Ryo : … !
Yora : Bon vent et au revoir à jamais !

Yora sauta aussi à son tour en l'air et enchaîna à la volée avec son attaque.

Radja : C'est des malades, CE SONT DES MALADES, DES MALADES !
Yora : Salut ! Envoi nous une carte !! ''Fulgurance Frappe'' !
Radja : …… !

Ce qui lui fit prendre son envol pour l'horizon.

Yora : Je ne sais pas comment, mais il me semble différent des deux autres. Je ne sais où et quand il s'écrasera ? Mais…., une racaille comme lui, en réchappe toujours !
Ryo : Si j'étais toi, je l'oublierais ! Ce traître, ce lâche, ce…
Yora : Hé, ho ! Cela ne te ressemble pas de râler sur un incident mineur. Tu es malade, tu as de la fièvre ?
Ryo : De mémoire, je ne me rappelle pas m'être fait avoir si bêtement. Ca me fout en rogne.
Yora: Hou-hou! Frérot ? Tu es dans la lune ? Hé, tu me réponds! Tu va voir !

Yora brandi son point et tapa trois fois sur le haut du crane de Ryo, pour le faire sortir de son absence.

Yora : Toc, toc, toc! 1, 2, 3 ! Nous irons au bois !

Tout de même apparemment trop fors, et !

Ryo : Aïe! Aaaaïe !
Yora : Hi, hi, hi ! Je l'ai eu, c'est génial !
Ryo : Qui, que, quoi ! Hein ! Ho, hé ....Qui m'a tap… !? Ce n'est que toi ! Pour la millième fois ! ÇA NE VA PAS, NON ?! TU TE PRENDS POUR UN ''PIC-VERT'' ?

La veine temporale de Ryo était visible, et oui le principal défaut de sa sœur est de taquiner en tambouriné (parfois durement) la tête des gens.

Ryo : Grou !! Toi, tu as de la chance, d'être ma frangine ! Sinon tu… !
Yora : Oh ! Hé ! Du calme, t'es enragé ?
Ryo : Tu as raison, du calme. Je me détends !
Yora : Tu viens ? Grand-père nous cherche.
Ryo : Oui, j'arrive. Mm… ? Je ressens un malaise comme si quelqu'un ou……. Non, non, je me fais des idées.

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Dans l'ombre au-dessus de Ryo & Yora à une distance de six cents ou de huit cents mètres dans le relief d'un piton rocheux, trois personnes dissimulaient leur présence.

Inconnu A : Donc, ils sont aussi rebelles que je me l'imaginais ! Cela plaît beaucoup !
Inconnue E : Je ne crois pas, ils ne sont pas si terribles que ça !
Inconnu A : Tu ne devrais pas les sous-estimer ! Vu leurs patrimoines ça m'étonnerait qu'ils aient tout donné contre ces petits guerriers de pacotille !
Inconnu L : Afin de bien voir tous leurs talents, je vais leur concocter une manigance qu'ils auront du mal à endurer !
Inconnu A : Bonne idée et si... ! S'ils survivent, je leur accorderai l'honneur de m'affronter ! Mais n'oublie pas ton pacte !
Inconnu L : Je le connais et également ses conditions !

Le ténébreux individu s'évanouit dans la nature, le temps d'un battement de cil.

Inconnue E : Tu lui fais confiance, surprenant ! Que me caches-tu ?
Inconnu A : Tu le sauras en temps et heure voulue ! Pour le moment donne l'ordre à l'un de tes chevaliers fantôme de suivre dans l'ombre et la discrétion la plus totale cet enquiquineur d'Hanachi, il se joue de nous depuis des millénaires ! Je me méfie de son héritage ! Je ressens ces foutues pulsations de sorcier ici et un peu partout dans le monde extérieur ainsi qu'à Athènes chez ma détestée frangine. Si ma sœur interprète les indicent d'ondes et se rend compte qu'il s'agit bien de ce dernier, elle fera tout pour que le passage soit trouvé et fermé si la lune est de couleur sang ce soir ! Et tu sais que je ne le souhaite singulièrement pas cela !!

L'inconnu A se mit à rire sarcastiquement !

Inconnue E : Qui à t il de réjouissant ? Je ne te comprends pas !
Inconnu A : Je viens de m'imaginer le visage abasourdi qu'ils feront dans dix heures, il sera trop tard pour eux de faire marche arrière !
Inconnue E : Je présume avoir compris la supercherie que tu as derrière le crâne ! Remarquable duperie que voilà ! Bravo, il n'y verront que du feu !

L'inconnu A hocha de la tête en signe d'accord !

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Pendant ce temps. Athènes sanctuaire, Maison de la Vierge, 11H19 du matin.
Shiryu revint à lui suivi de Kiki et de Marine!

Shiryu : Aïe, mon bras ! La maison de la Vierge ? Bizarre.. ! Ho ! Kiki ! Marine !

Shiryu se jeta aux pieds de Kiki.

Shiryu : Kiki émerge ! Bon Dieu ouvre les yeux !
Kiki : Qui me parle ! Houlala, que, … quoi !
Shiryu : Tu m'as causé du souci !

Shiryu devant une vrais marmotte n'eu pas d'autre choix que de le ballotter d'avant en arrière énergiquement !

Kiki : Ne me secouez pas comme ça ! Je dors !
Shiryu : Tu dormiras plus tard !
Kiki : Mmais,… !
Shiryu : Tu ne me laisses pas le choix ! DEBOUT !!
Kiki : Hein, … qui ! Quoi ? Shiryu ! ? Pas besoin de hurler, je faisais semblant !
Shiryu : …!

Shiryu sourit jaune de la plaisanterie que Kiki venait de lui jouer, mais trop heureux de voir son jeune ami en vie, il ne lui en tint pas rigueur !

Kiki : … ? Mais, mais, nous sommes dans la maison de la Vierge ! Que s'est-il passé ?
Shiryu : Je ne sais pas ! Et pour toi ça peut aller ?
Kiki : Mmouai ! A part les courbatures ! Et Marine ?
Marine : Je suis ici et au cas où vous voudriez savoir, personnellement ça va !
Kiki : Mm… ? ! Mon brassard où est-il ?
Inconnue : Il est là-bas dans le Champ!
Shiryu : Qui va-là ?
Marine : Montrez-vous et dévoilez-votre indenté !
L'inconnue sortit de la pénombre et...

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Cette fiction est copyright Stéphane Roomans.
Les personnages de Saint Seiya sont copyright Masami Kurumada.