Chapitre 1 : Konichiwa Sakura san


09/09/2001

Dans un train en provenance de Tokyo, une jeune fille aux cheveux verts et en costume de sailor avec son cartable sur les genoux était seule dans le compartiment, elle était songeuse.

Sakura : Dommage que le livre m'ait coûté si cher, je n'ai plus assez d'argent pour allez voir Le roi et l'oiseau. Enfin, comme je rentre plus tôt que prévu, je pourrais voir Shinji à l'entraînement.

Le train s'arrêta à une station. Deux hommes d'une trentaine d'année entrèrent dans le wagon et s'assirent l'un à coté de l'autre. Ils s'embrassèrent sans remarquer qu'on les observait.

Sakura : Ah ces amoureux qui s'bécotent dans les lieux publics. Je me demande s'ils se sont aperçus de ma présence ? De toutes façons, c'est pas moi qui irai les déranger.

La porte du compartiment s'ouvrit et trois individus d'environ vingt ans et à l'allure patibulaire entrèrent. Ils se dirigèrent vers le couple homosexuel.

1er homme : Regardez moi ces deux tarlouzes les gars. Elles ont honte de rien.
2éme homme : Je sais pas pour vous chef ? Mais j'ai jamais pu saquer les pédés.
3éme homme : Si on leur faisait leur fête chef ?
Le chef : Ouais, ça faisait longtemps qu'on s'était pas amusé.
Sakura : Mon père m'a toujours dit que la violence n'était jamais une solution.
Chef : Qu'est ce t'as, tu veux qu'on commence par toi ?
Sakura : Si ça peut vous défouler de vous en prendre à une jeune fille sans défense ?
2éme : Mais c'est qu'elle s'fout de nous !
3éme : Tu vas voir ta tête.

Le troisième homme avait lancé son poing sur Sakura. Celle ci d'un geste élégant lui empoigna le bras et l'envoya voler vers ses comparses. Pendant qu'ils se dégageaient, Sakura fouilla dans son cartable. Elle en sortit deux protèges poignets rouges et un bandeau de tissu blanc qu'elle enfila. Les trois loubards sortirent des couteaux. Sakura mit tranquillement le bandeau autour de son front.

Chef : On va te saigner salope !
Sakura : Ma mère m'a toujours dit que certaines personnes ne comprennent que la violence.

Sakura se rua sur ses adversaires. Elle en frappa un au ventre qui s'écroula le souffle coupé. Le second reçut un coup de pied dans les testicules et se coucha sous l'emprise de la douleur. Le chef tenta de contre-attaquer, mais Sakura lui empoigna le bras et lui démit l'épaule.

Sakura : Messieurs, le train va bientôt s'arrêter. Je vous conseille de descendre à cette station avant que je ne me fâche vraiment.

Les trois voyous obtempérèrent et se traînèrent jusqu'à la porte du wagon où il attendirent la prochaine correspondance pour partir.

Gay 1 : Merci mademoiselle.
Sakura : Ce n'est rien. Ça me fait toujours plaisir de remettre ces minables à leur place.
Gay 2 : Ils auraient pu vous blesser. Vous avez été très courageuse.
Sakura : J'avais un net avantage sur eux, je sais me défendre.
Gay 1 : Puis je savoir où vous avez appris à vous défendre.
Sakura : Au dojo Doki qui se trouve à Yokosuka.
Gay 2 : Mais il n'y a pas d'arrêt là bas !
Sakura : C'est exact, il faut sortir à Médina et prendre un bus.
Gay 2 : Et vous faite ce trajet tout les jour ?
Sakura : Bien sur que non. Je reviens de Tokyo car j'avais une course à y faire. Sinon j'habite à Yokosuka et j'étudie au lycée de Médina.
Gay 1 : J'ai un neveu qui vient lui aussi d'entrer dans ce lycée, il doit avoir quatorze ans comme vous.
Sakura : Vous savez, je suis déjà en terminale.
Gay 1 : Vous êtes surdouée ?
Sakura : Je préfère dire que je suis plus sagace que les enfants de mon âge.
Gay 2 : Et modeste avec ça.
Sakura : Messieurs, puis-je m'enquérir de vos identités ?
Gay 1 : Mais bien sur ! Je m'appelle Isao Kounichida. Et mon ... "compagnon" se nomme Ayao Nagai.
Ayao : Nous sommes mangakas. Et vous jeunes héroïne, Quel est votre nom ?
Sakura : Je m'appelle Sakura Doki.
Isao : Comme le Dojo ?
Sakura : Ce sont mes parents qui le dirigent.
Ayao : Excusez nous mademoiselle, mais voici notre arrêt. Notre discussion doit malheureusement s'achever. Sayonara Sakura san.
Isao : Sayonara Sakura san.
Sakura : Sayonara Ayao san, sayonara Isao San.

Le couple sortit du wagon laissant Sakura seule dans le compartiment.

Sakura : J'ai l'impression que ça leur a fait du bien de parler à quelqu'un qui ne les méprise pas. Je me demande si je leur ai donné des idées pour un futur manga. Bon ! Il me reste encore six stations avant Médina, je vais commencer la traduction de mon livre.

Elle sortit de son cartable un ouvrage sur lequel on pouvait lire en caractère romain : Georges Brassens : oeuvre complète.



Arrivée à Médina, elle prit le bus. Aujourd'hui, le chauffeur était monsieur Ichikawa qui connaissait très bien Sakura.

Mr Ichikawa : Alors Sakura, ils étaient combien ?
Sakura : De quoi parles tu ?
Mr Ichikawa : Tu le sais très bien. Tu as gardé ta "tenue de combat".

Sakura avait effectivement oublié d'ôter son bandeau.

Sakura : Ils étaient trois.
Mr Ichikawa : Mais c'était pas un combat équitable ! Tu t'es bandée les yeux j'espère.

Monsieur Ichikawa adorait exagérer les compétences martiales de Sakura. Il faut dire qu'elle l'avait défendu contre un groupe de resquilleurs un peu agressifs l'année dernière.
Arrivée à destination, Sakura monta la colline qui menait chez elle. Elle s'arrêta devant la boite aux lettres et lut avec fierté, comme à son habitude, les noms marqués dessus : Jubeï et Mona Doki. Sakura entra dans la maison mitoyenne au dojo.

Une voix : Tu rentres bien tôt Sakura.
Sakura : J'ai eu des problèmes de budget maman. Mais où es tu ?
Mona : Dans la cuisine, je prépare le repas de ce soir. C'est un plat italien, tu vas adorer.

Sakura frémit, ce n'est pas que sa mère soit une mauvaise cuisinière, mais quand elle se mettait aux fourneaux de bonne heure, c'est qu'elle essayait une nouvelle recette qu'elle ratait généralement. Sakura alla dans sa chambre, mit son kimono et se dirigea vers le dojo. Son père était en train d'effectuer un kata devant ses disciples. Quand il cessa, il vit sa fille.

Jubeï : Sakura ? Tu n'étais pas censée être à Tokyo ?
Sakura : J'ai du écourter mon voyage pour des raisons pécuniaires. Shinji n'est pas là ?
Jubeï : Il m'a téléphoné ce matin pour me prévenir de son absence, il voulait aussi te parler d'une chose importante.
Sakura : Et merde ! Bon, dans ce cas je vais me rabattre sur Toji.
Toji : Moi ? Mais pourquoi ?
Sakura : Parce que c'est toi le moins nul. Alors viens sur le tatami sans faire d'histoire.
Toji : Je ne vais même pas tenir une minute face à elle. J'ai beau avoir vingt ans, je ne fais pas le poids. Elle vient de se mettre en garde. Surtout ne pas attaquer le premier. Tu parles ! Elle a des nerfs d'acier, je craquerai avant elle c'est certain. Quoi ! Elle vient de commencer l'assaut. J'ai du mal à parer ses coups. Sa défense est parfaite. Je ne pourrai jamais contre-attaquer. Tiens ! Elle vient de baisser sa garde. C'est ma chance. Ça y est je l'ai touch...

Toji s'effondra. Sakura lui avait asséné un puissant coup dans l'estomac. Jubeï s'adressa à lui.

Jubeï : Tu as fait de gros progrès Toji. Sakura a du t'obliger à attaquer pour pouvoir te mettre au tapis. Et tu l'as même frappée.
Sakura : Tu as plus de punch que je l'imaginais, je vais avoir un bel hématome.
Toji : Merci senseï Jubeï. Un compliment de la part de Sakura c'est rare, j'ai du réellement faire des progrès.

La journée d'entraînement continua à son rythme habituel. Quand le cours fût fini, Jubeï demanda à Toji de rester un moment.

Jubeï : Toji, je pense sérieusement à parfaire ta formation. Es tu d'accord pour venir t'entraîner demain.
Toji : Vous voulez dire que je vais suivre l'enseignement de senseï Mona ?
Jubeï : Exactement. Alors, quelle est ta réponse ?
Toji : Ce serait un honneur, à part Shinji, personne n'y a eu droit.
Jubeï : En fait, il y a eu un élève avant Shinji, il s'appelait Ozamu. Il était très doué mais sa mère a déménagé.

Bon ! Sakura va bientôt arriver pour son entraînement. Tu veux regarder ?

Toji : Son entraînement ? Mais il vient de se terminer.
Jubeï : Non, pour elle ce n'était qu'un échauffement. Si tu restes tu pourras voir de quoi elle est réellement capable.
Toji : Très bien, je reste.

Jubeï se mit sur le tatami et attendit sa fille. Quand ils furent réunis, ils se mirent en garde et ne bougèrent plus.

Toji : J'ai l'impression que le senseï a changé. Il n'affiche plus son air doux qui lui donnait cet aspect féminin. Ça fait plus de cinq minutes qu'ils se jaugent. Aucun des deux ne veux prendre l'initiative. J'ai l'impression que Sakura meurt d'envie de commencer le combat. Elle va charger d'un instant à l'autre, je le sens. La voilà qui s'élance sur le senseï. Je n'ai jamais vu un tel échange de coups. Ils n'arrivent pas à se toucher. Ils viennent d'accélérer le mouvement. J'ai du mal à suivre l'action. Quelle technique ! Je ne pourrais jamais atteindre ce niveau.

Le combat dura une heure et se conclut sur la victoire de Jubeï.

Toji : Senseï, je ne sais pas si je serais à la hauteur de vos espérances.
Jubeï : Ne soit pas défaitiste Toji. Sakura s'entraîne depuis qu'elle sait marcher. Il est normal qu'elle ait plus d'expérience que toi.
Toji : Je vous remercie de vos encouragements, à demain senseï.
Jubeï : A demain Toji.
Toji : Mince, j'ai oublié de souhaiter un bon anniversaire à Sakura.



Dans la maison.

Sakura sortit da la douche et alla dans sa chambre, songeuse. Elle avait pris l'habitude de questionner ses parent sur leur passé. La réponse faisant office de cadeau.

Sakura : Qu'est ce que je vais bien pouvoir leur demander cette fois ci ? Récapitulons, Je sais que mon père est japonais et que ma mères est italienne. Ils ont servi dans la même milice en Grèce. Ils ont participé à plusieurs batailles. J'ai huit oncles et une tante du coté de mon père mais aucun ascendant du coté de ma mère. Enfin, si j'avais été un garçon, je me serais appelée Cassios en mémoire d'un ami de ma mère mort au combat. Papa m'a aussi promis qu'un jour il sera obligé de tout me dire. Il semble cependant qu'il ne soit pas pressé de voir ce jour arriver.

Sakura s'installa à son bureau et continua ses traductions jusqu'à l'heure fatidique du repas.

Mona : A table !
Sakura : Si c'est bon, j'attendrais la fin du repas pour poser ma question.
Jubeï : Qu'as tu préparé de bon ma chérie ?
Mona : Tagliatelles à la carbonara
Sakura : J'adore quand maman force sur son accent italien. Bon, courage mangeons. Mais c'est vachement bon !
Jubeï : Tu t'es surpassée aujourd'hui.
Mona : Attends d'avoir goûté le dessert, je l'ai aussi préparé.
Sakura : Misère !

Sakura mangea lentement pour retarder le plus possible la fin du repas.

Mona : Et voilà ! C'est un tiramisu.
Sakura : En tous cas, c'est agréable à regarder. Reste à savoir si c'est mangeable. Mais c'est excellent !
Jubeï : Alors Sakura ? Que vas tu nous demander cette fois ci ?
Sakura : J'aimerai savoir comment maman et toi, vous êtes passés de l'état de frères d'armes à celui d'âmes soeurs ?

Un long silence se fit.

Sakura : Ma question est si gênante que ça ?
Jubeï : Non, pas du tout. C'est juste que la réponse est compliquée.
Mona : Tu dois d'abord savoir, que ton père avait déjà une petite amie avant qu'on ne se rencontre. Quant à moi, j'étais amoureuse d'un de ses frères.
Jubeï : Malheureusement, lors de la dernière bataille à laquelle nous avons participé, il fût porté disparu.
Mona : Bien que nous l'ayons retrouvé trois mois plus tard, nous étions persuadé de sa mort.
Jubeï : Sa disparition nous toucha tellement, que notre chef décida de tous nous envoyer à Paris pour nous remettre de nos blessures physiques et morales.
Mona : June, la fiancée de ton père, avait quant à elle décidé de suivre un entraînement très poussé afin de monter en grade.
Jubeï : Je me retrouvais donc dans une ville inconnue sans personne pour me consoler.
Sakura : Et tes autres frères ?
Mona : Ton père se sentait coupable pour la "mort" de ... Seiya. Il ne se sentait pas la force de soutenir le regard des autres.
Jubeï : Je me dégouttais tellement, que je ne pouvais plus me regarder dans une glace. J'ai donc décidé de modifier mon visage.
Sakura : Tu as fait de la chirurgie esthétique ?
Jubeï : Non, je pensais qu'une nouvelle coupe de cheveux donnerait le change.
Mona : Le jour où il a changé de coiffure, j'avais décidé de noyer mon chagrin dans l'alcool. Quand il est tombé sur moi, avec sa nouvelle apparence, j'étais saoule et je l'ai tout de suite pris pour son "défunt" frère.
Jubeï : Pour sa décharge, ma nouvelle coiffure faisait presque de moi son sosie. Je l'ai ramenée jusqu'à sa chambre...
Mona : Et j'ai commencé à le poursuivre de mes ardeurs. Ton père était tellement paniqué, qu'il ne pouvait plus bouger. J'en ai donc profité pour assouvir mes fantasmes. Le lendemain, je me suis retrouvée seule dans mon lit persuadée que j'avais rêvé. C'est quand mon ventre a commencé à grossir, que je fus certaine qu'il s'était passé quelque chose cette nuit là.
Jubeï : Moi par contre, j'étais rongé par le remords, persuadé d'avoir trompé June. Mais quand j'ai appris l'état de ta mère, j'ai tout de suite reconnu ma paternité. C'est ce qui nous a rapprochés Mona et moi.
Mona : Tu n'étais pas très fier de ton exploit au début.
Jubeï : C'est pas toi qui apprends que tu es père à l'âge de treize ans.
Mona : Shun !

Sakura quitta la table précipitamment et alla dans sa chambre. Ce n'était pas le fait d'apprendre qu'elle était née par accident qui avait déclenché cette réaction, ni la grande jeunesse de ses parents dont elle se doutait. Non ce qui fit réagir Sakura, c'était le nom qu'avait utilisé sa mère pour rappeler son père à l'ordre. Ce père qu'elle admirait tant portait un faux nom. Que pouvait il bien encore lui cacher.

Shun : Merde, j'ai gaffé. Je suis désolé Mo...
Mona : Appelle-moi Shina veux tu. Elle va devoir se faire à nos véritables noms. Je vais aller la voir pour la consoler.

Shina entra dans la chambre de sa fille.

Shina : Toc toc.
Sakura : Qu'est ce que tu veux ? Tu vas me dire que tu n'es pas italienne ?
Shina : Je suis bien italienne, par contre mon véritable nom est Shina.
Sakura : Pourquoi avez vous changez d'identité ? Vous êtes des criminels ?
Shina : Je ne peux pas te le dire pour l'instant, tout ce que je suis en mesure de te révéler, c'est que notre véritable nom de famille est Kido.
Sakura : Encore un des ces mystères qui ne me sera révélé qu'au dernier moment je suppose ?
Shina : Malheureusement oui.
Sakura : Mais quel est ce moment que vous semblez tellement redouter papa et toi ?
Shina : Nous n'avons jamais quitté réellement la milice. Si le besoin s'en fait sentir, elle nous rappellera. C'est ce jour là que nous te diront tout sur nous.
Sakura : Et si on ne vous rappelait jamais ? Je devrais attendre la vérité couchée sur votre testament ?
Shina : Je n'avais jamais songé à cette éventualité. Écoute Sakura ! Je vais convaincre ton père de tout te dire l'année prochaine.
Sakura : Et pourquoi pas tout de suite ?
Shina : Parce que tu as eu ta dose de révélations pour cette année.
Sakura : Je me serais bien passé des circonstances de ma conception. Les français diraient que je suis née à l'insu de votre plein gré.

Sakura reçut une gifle magistrale de la part de sa mère.

Shina : Ne redis jamais ça, tu m'entends ? Ton père et moi t'aimons de tout notre coeur. Ta naissance fût une bénédiction. surtout pour ton père. Ce fût son plus bel et unique cadeau d'anniversaire.
Sakura : Comment ça ?
Shina : Ton père est né le neuf septembre 1973, soit quatorze ans jour pour jour avant toi. Il a vingt huit ans aujourd'hui.
Sakura : C'est bizarre, je n'ai jamais songé à vous demander vos dates de naissance.
Shina : Tu sauras la mienne dans un an avec un peu de chance. Maintenant va te coucher il se fait tard. Et n'oublie pas. Nous nous somme mariés grâce à toi, et non à cause de toi.
Sakura : Merci maman.

Shina sortit de la chambre et se dirigea vers le lit conjugal.

Shun : Alors, comment prend elle la chose ?
Shina : Plutôt bien. Écoute Shun, je lui ai promis de lui dire toute la vérité sur nous pour ses quinze ans.
Shun : Comment !
Shina : Elle a le droit de savoir. Ce n'est plus une enfant après tout. De plus elle m'a fait remarquer que le Sanctuaire pourrait ne plus jamais faire appel à nous.
Shun : Tu as eu raison. (un soupir) Je sens que je vais encore faire des cauchemars cette nuit.
Shina : Pour faire des cauchemars il faut dormir mon tendre époux. Et je compte bien te tenir éveillé toute la nuit.
Shun : Tu es folle Shina. Et c'est ce que j'aime le plus chez toi.

Le jeune couple commença à s'étreindre.

Cependant dans la chambre de Sakura.

Sakura : Bon ! Je vais finir une traduction et dodo. Mais qu'est ce que c'est que ce bruit. Oh non, pas cette nuit ! Je sens que je ne vais pas beaucoup dormir encore une fois. Ça me permettra au moins d'avancer dans mon "travail".

Sakura s'installa à son bureau et continua ses traductions.

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Cette fiction est copyright Benjamin Gelbard.
Les personnages de Saint Seiya sont copyright Masami Kurumada.