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Le jour J-1 était enfin arrivé, nos fiers chevaliers étaient arrivés à l’aéroport. Seiya : Géant ! L’aéroport de Tokyo est vraiment gigantesque ! Jabu : Seiya est comme un gamin qui s’émerveille devant un bonbon… Seiya : Jabu, tu me cherches ? Nachi : Cool ! Dans la librairie d’en face, il y a le nouveau ‘‘Shonen Jump’’ !!! Seiya : ‘‘Chonenne Junpe ’’ ? Késaco ? Nachi : Tu connais vraiment rien, Seiya ! C’est un magazine plein de mangas très connus, comme « Fly », « Dragon Ball », « Ken » ou « City Hunter » ! Ikki : Et c’est très connu, partout dans le monde ! Shun : J’aimerais bien être un personnage de mangas… Nachi : Je voudrais l’acheter, mais j’ai pas de pognon sur moi ! Jabu : Quel idiot ! Heureusement, Jabu est là ! Jabu sortit un porte-feuilles de la poche de son pantalon en cuir, qui faisait très style, selon Jabu. Ban : Ouah ! Tu es riche Jabu ! Jabu : Ce ne sont que quelques économies que j’ai eues après avoir réalisé de bonnes actions… Shiryu : Jabu rackette souvent les mémés après les avoir aidées à traverser la route… Jabu : Ne bougez pas de là, je cours acheter ce magazine exceptionnel ! Jabu s’élança aussitôt dans la petite boutique qui faisait office de librairie, et au moment où il franchit la porte d’entrée, le détecteur de métaux se mit à hurler, encore plus fort que Lara Fabian dans son dernier album. Jabu : Que se passe-t-il ? Miss Lee : Excusez moi, monsieur, mais avez-vous des objets métalliques sur vous ? Jabu : Qui êtes-vous, vous ? Miss Lee : Je suis Miss Lee, la tenancière de cette humble boutique. Jabu : Je comprends pas, rien n’est métallique sur moi. Jabu fouilla alors toutes les poches de son costar (il dit que ça va très bien avec un pantalon en cuir), mais rien… Jabu : Nan, j’ai rien… Miss Lee : Et cette boîte, dans votre dos ? Jabu : L’urne de Pandora ?! Mais c’est à l’intérieur qu’il y a mon armure ! Miss Lee : Ca ne fait rien, laissez là dehors, où vous n’entrez pas. Jabu : Quel dilemme ! Si je ne rentre pas, je n’aurai jamais ce magazine ! De quoi aurai-je l’air ? D’un nul ! Très bien, je la pose ici… Miss Lee : Bien, vous pouvez entrer… Après dix minutes passées à essayer de négocier le prix du magazine, Jabu sortit du magasin, fier d’avoir économisé 10 yens, mais son urne avait disparu ! Jabu : Quoi ?! Où est mon urne ?! Seiya : Que t’arrive-t-il, Jabu ? Jabu : Seiya ! C’est toi qui m’a pris mon armure ! J’en suis sûr !!! Hyoga : Arrête, Jabu. Seiya était trop occupé à jouer aux billes avec un gamin de trois ans qui passait. Et bien sûr, il a gagné (le gamin, pas Seiya). Jabu : Mais alors, où est mon armure ?! Ikki : On a dû te la voler, c’est la seule explication. Jabu : Mais qui serait assez fou pour voler l’armure du chevalier de la Licorne ?! Il va me le payer ! A ce moment, un vieux type bossu s’avança vers Jabu. Pépé : Tu as perdu quelque chose, petit ? Jabu : Ouais ! On m’a volé mon armure ! Pépé : Ton armure ? Etait-elle dans une boîte sur laquelle il y avait une tête de licorne gravée ? Jabu : Oui ! Pépé : Et y avait-il une poignée dans la gueule de la Licorne ? Jabu : Oui ! Exactement ça ! Vous l’avez vue ? Pépé : Non… Jabu : Et merde ! Que vais-je devenir ? Ikki : Dîtes moi, pépé, votre bosse semble bien carrée… Pépé : C’est…C’est parce que je suis atteint du syndrome de la bosse cubique ! Ikki : Ben voyons… Et c’est avec une grâce jamais vue qu’Ikki souleva le grand manteau de pépé. Jabu : Mon armure ! Pépé : Mince ! Je suis découvert… Jabu : Pourquoi as-tu fait cela ? Pépé : Je n’ai fait qu’obéir aux ordres de ce type là-bas… Jabu : Seiya ! Pourquoi as-tu demandé à ce pépé de voler mon armure ?! Seiya : Je ne le connais pas, je te le jure… Jabu : C’est ça ! Tu te fous de moi, en plus ! Shun : Jabu, le pépé vient de partir… Pépé narguait alors Jabu en le traitant de tous les noms. Pépé : Eh, couillon ! PP, ce sont les initiales de PickPocket !!! Pépé partit alors à une vitesse hallucinante. Jabu : Il a de la chance de courir vite… Shiryu : Vérifie qu’il ne t’aie rien volé… Jabu : Comment pourrait-il me voler, moi, le célèbre Jabu de la Licorne ! Ah, je ris ! Jabu éclata de rire, puis son teint verdit quand il mit sa main à sa poche. Shiryu : Que t’arrive-t-il ? Tu es malade ? Jabu : Il…Il m’a volé mes billets d’avion… Seiya : Mais quel gros nullos !!! |