Chapitre 7 : Face à face…


Abysses de Zeus.
Les anges se tenaient dans l'antichambre qui contenait les armures des titans, ils réfléchissaient à une possible stratégie. Mais le moment n'était plus à la réflexion. En effet, il fallait agir et ce qu'ils sentaient grâce à leur cosmo-énergie leur permettait de savoir qu'une armure avait été revêtue. Il fallait donc vraiment passer à l'action….

Gabriel : Mes amis, nous avons échoué, comme nous l'avait annoncé la prophétie des Moires, et même si nous savons que nous ne pouvons aller contre le destin, nous devons tout faire pour que la prophétie se poursuive.

Les trois autres acquiescèrent avec inquiétude, la mort ne leur faisait pas peur, mais le regard de leur chef c'était autre chose…

Gabriel : Allons-y !!!!!

Comme un seul homme ou plutôt comme un seul ange, ils s'élancèrent à une vitesse folle vers un lieu étrange où le temps et l'espace ne comptait pas, vers un lieu où la magie était souveraine et l'illusion un fait et cela avait de quoi faire sourire…

Mais le moment était mal choisi pour sourire, car à présent se tenait un Dieu devant-eux. En fait, il s'agissait de Loki, revêtu de sa somptueuse armure, qui imposait le respect, même à des chevaliers divins. Ce diable les attendait, les fixant avec un rictus de dégoût, une lueur de satisfaction dans la voix, il s'exprima en ces termes aux chevaliers. Et à ce moment, avant même que ce dieu fourbe ne commença à parler, Gabriel savait que lui, le plus grand guerrier de sa génération, avait fait la plus lamentable erreur : il s'était jeté dans la gueule du loup et il ne savait pas à quel point il avait raison…

Loki : Les vents de l'ordre ont mal choisi leur moment pour vous amener jusqu'ici… Excusez-moi de mon geste mais j'ai besoin d'une garde personnelle à plein temps : YOUR SOULS ARE NOW MINE !!!

Quatre traits lumineux se dirigèrent vers les chevaliers et trois d'entre eux tombèrent. Gabriel quant à lui, se tenait toujours debout, il fixait Loki intensément, mais au moment où il pensait l'attaquer, Loki le devança :

Loki : Qui es-tu donc pour pouvoir éviter les attaques d'un dieu ! [Le ton employé était celui de la curiosité plutôt que de la colère] Enfin… De toute façon, trois chevaliers me sont amplement suffisants… Je vais t'envoyer voir mon enfant, tu lui serviras d'en-cas.

Alors autour de Gabriel les choses devinrent flou, son cosmos était comme figé et il disparut happé par une sorte de trou dans une dimension qu'il n'aurait jamais voulu connaître.

Loki : Bien, maintenant que le gêneur n'est plus là, jetons un coup d'œil sur ma nouvelle garde…

*

* *

Le chevalier divin du Cygne quant à lui, avait été téléporté dans les Enfers de Glace afin d'y trouver son arme divine. Comme la plupart de ses compagnons, son voyage inter-dimensionnel l'avait affaibli et il s'était tout naturellement évanoui. Cela faisait bien quelques minutes qu'il était allongé là par terre dans le froid lorsqu'il reprit peu à peu conscience. Il commença par bouger ses mains, puis il releva doucement la tête et enfin, il se mit debout tant bien que mal…

Hyoga : Où… Où suis-je ?

Il entreprit alors de scruter les alentours pour essayer de se repérer.

Hyoga : Mais c'est impossible ! Cet endroit ressemble à la description que mon maître Camus m'avait faite des Enfers de glace. Et moi qui croyais que cet endroit n'existait pas…

En effet, la vision que Hyoga avait des Enfers de glace transmise par son maître Camus était très proche de ce qu'il avait sous yeux en ce moment.

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Sibérie, trois années plus tôt…
Hyoga et Isaac étaient en plein entraînement dans le but de devenir des chevaliers d'Athéna.

Isaac : Maître ?
Camus : Oui, que veux-tu Isaac ??
Isaac : Eh bien, hier Hyoga et moi nous étions en ville pour acheter à manger comme vous nous l'aviez demandé et nous avons entendu des villageois qui parlaient.
Camus : Et alors, cela n'a rien d'anormal…
Isaac : Attendez maître. Ils parlaient certes, mais ils parlaient d'un endroit qui s'appelait l'Enfer de glace ou quelque chose comme ça. Le plus étrange, c'était qu'ils avaient l'air complètement effrayés rien qu'à l'idée de prononcer ce nom. Ils disaient que si jamais quelqu'un trouvait leur entrée alors la mort de tous serait inéluctable car une fois ce passage ouvert, les plus grandes vagues de froid qui n'aient jamais existées se déferleraient sur toute la Sibérie. Et Hyoga et moi, on se demandait si vous étiez au courant de l'existence de cet endroit.

L'histoire que venait de conter Isaac avait rendu le chevalier du verseau complètement blême et s'il ne faisait pas presque -10°C il aurait été sûr de suer à grosses gouttes. Cependant, il ne voulut rien laisser paraître devant ses deux élèves. Il essaya alors de reprendre calmement :

Camus : Ou… Oui, j'en ai entendu parler….
Hyoga : Oh ! S'il vous plaît maître ! Dites nous ce que vous savez sur cet endroit. J'aimerais trop connaître ce que c'est.

Camus : Entendu… Alors vois-tu, l'Enfer de glace est l'endroit le plus froid au monde. La température tourne éternellement autour de -150°C et autant dire qu'un humain normal n'y survivrait pas longtemps. Et si vous deveniez chevaliers de bronze, vous ne feriez vous-mêmes pas long feu… Nul ne sait où se trouve cet endroit et il vaut mieux ne pas le savoir. Il y a de la neige à perte de vue et seules trois collines nous montrent que l'on n'est pas au milieu de nulle part. En fait, on peut considérer que cet endroit correspond à l'épreuve finale pour tout chevalier du froid qui se respecte…
De plus, ce n'est pas tout. Il est dit d'après des mémoires d'hommes que une fois ces enfers traversés se cache une arme d'une force prodigieuse. Mais attention, si quelqu'un tente de traverser cet endroit et ne parvient pas jusqu'à la dernière salle, alors un Dieu du froid va répandre durant une année entière sur la Sibérie un froid d'une température inimaginable pour des hommes normaux. Mais ne vous inquiétez pas. Tant que vous resterez sur terre, vous ne pourrez pas accéder à cet endroit.

Isaac : Maître je ne veux pas dire mais j'ai l'impression que vous-même y êtes déjà allé…
Camus : Tais-toi, le sujet est clos et je ne veux plus jamais en entendre parler. Maintenant reprenez l'entraînement.

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Hyoga : Ainsi donc, c'est ici que Héphaïstos m'a envoyé. À l'endroit de l'épreuve ultime pour un chevalier du froid. Et si ce que mon maître m'a dit à moi et à Isaac est vrai alors je devrai trouver en ce lieu une arme possédant une force inimaginable. Je suis sûr qu'elle sera à même de venir à bout des titans.

Et sans perdre plus de temps en réflexion, Hyoga se dirigea vers la première colline.
Arrivé à proximité, il essaya d'en trouver l'entrée. Il eut un peu de mal puisque celle-ci était bien dissimulée. Mais une fois qu'il l'eut trouvée, il entra sans problème. À l'intérieur, le spectacle qui s'offrit à lui était tout simplement impressionnant : des milliers de stalactites pendaient au plafond d'une couleur aussi pure que le cristal. Leur brillance faisait en sorte que cela produisait une lumière naturelle à l'intérieur de la grotte permettant au chevalier du Cygne de voir aussi bien que s'il eut été en plein jour.
Il avança alors à travers cette pièce tout en contemplant le spectacle gratuit qui s'offrait à lui. Arrivé à la fin de la salle sans aucune difficulté particulière il avisa un rocher et décida de s'y reposer quelques instants. Il parcourut alors machinalement la salle du regard et tomba sur un mur où il était écrit ceci :

" Toi qui as pénétré en ces lieux de terreur
Ne soit pas empreint de sentiments
Où sinon ta seule compagne dans la mort sera la peur…
Et, pour celui qui aura triomphé des épreuves,
Seule l'attaque du Dieu du Froid lui permettra d'accéder
À la légendaire lance de l'Eternel… "

Après avoir lu ces quelques lignes, Hyoga ne put s'empêcher de frissonner. Les mots qui étaient écrits étaient tous lourds de sens.

Hyoga : Bon, je n'ai pas de temps à perdre. Il faut que je me remette en route.

Il se releva, avisa une petite ouverture dans la paroi et s'y engagea. Soudain :

Voix : Attends Hyoga ! Ne va pas plus loin !
Hyoga : Qui a dit ça ?
Voix : Moi, ton maître Camus le chevalier d'or du Verseau.
Hyoga : Camus ? Mais où es-tu ?
Camus : Je suis là, juste derrière toi !

Aussitôt, Hyoga se retourna et vit une ombre qui se rapprochait de lui. Elle prit peu à peu forme humaine et au fur et à mesure qu'elle se rapprochait, il constata qu'il s'agissait effectivement de Camus.

Camus : Ne va pas plus loin, Hyoga. Au-delà de cet endroit commencent les Enfers de Glace. Je t'interdis d'y accéder tant que tu n'auras pas un minimum de connaissance à leur sujet.
Hyoga : Mais pourquoi maître ? Qu'y a-t-il donc de si dangereux là-bas ?
Camus : Le plus dangereux pour le moment sont tes sentiments. Ils sont un obstacle énorme à la bonne marche de ta quête. Comme tu as du le voir précédemment, si tu en as encore en toi il te sera impossible d'avancer car les épreuves attaquent ton cerveau et non ton corps. C'est pour ça que je n'ai pas réussi à avoir l'arme divine.
Hyoga : Alors Isaac avait raison ! Tu étais réellement venu ici auparavant. Mais comment as-tu fait ? Moi j'ai pu y venir car Héphaïstos m'y a envoyé mais toi ??
Camus : Eh bien, je suis venu de la même manière que toi !
Hyoga : Comment ???

Camus : Laisse moi t'expliquer. Cela remonte à l'époque où je venais de devenir un chevalier d'or. À cet âge, je n'étais encore qu'un jeune plein de fougue et je n'avais pas compris pourquoi les chevaliers d'Athéna n'avaient pas d'arme. J'enviais complètement le chevalier de la Balance qui lui en possédait douze. C'est pourquoi, un jour je suis parti voir le dieu Héphaïstos pour voir s'il était possible qu'il m'en forge une. Il m'a dit qu'il en avait bien une mais que pour l'avoir, je devrais venir en ces lieux maudits. Je suis arrivé ici et comme tu t'en doutes j'ai échoué. À l'époque, j'étais encore très vaniteux, ce qui a causé ma perte. Je compris que j'avais commis des dégâts irréversibles lorsque je vis que la Sibérie était en proie à une vague de froid sans précédent. En effet, comme tu le sais, si tu ne parviens pas à obtenir l'arme, tu seras la cause de nombreux troubles. Je compris alors mon erreur et décida alors de me consacrer uniquement à la recherche du zéro absolu, que je n'ai jamais atteint d'ailleurs…

Hyoga : Je comprends et je ferai ce qu'il faudra pour ne plus être dépendant de ces sentiments.
Camus : Bien, je n'en attendais pas moins de toi. Dans ce cas, subis LA POUSSIÈRE DE DIAMANT !!!!

L'attaque fut tellement vive et inattendue que le chevalier du cygne la subit sans même avoir esquissé le moindre mouvement de défense. Cependant, la protection de son armure était parfaite et il se releva sans peine.

Hyoga : Camus ? Mais qu'est-ce que tu fais ?
Camus : C'est simple mon cher élève. Il faut que tu arrives à te défaire de tes sentiments. Et dis-moi si tu connais un meilleur moyen pour y parvenir ?
Hyoga : Mais je ne peux pas vous attaquer vous mon maître !!
Camus : Voyons Hyoga ! Tu sais très bien que tu l'as déjà fait. Et puis je ne risque pas grand chose puisque je suis déjà mort. Il te suffit d'une attaque pour me renvoyer d'où je viens. Alors vas-y ! Je t'attends ! Tu pourras ainsi être libéré de tes sentiments définitivement.

Hyoga : Non, maître je ne peux pas.
Camus : Si ! Tu le peux ! Alors vas-y !!! Il faut absolument que je voie ce que tu vaux maintenant.
Hyoga : Bon. S'il le faut vraiment ! PAR L'EXÉCUTION DE L'AURORE !
Camus : PAR L'EXÉCUTION DE L'AURORE !!

Les deux attaques se firent face et tout à fait normalement celle de Hyoga était supérieure. L'attaque terrassa le chevalier du verseau.

Camus : C'est bien Hyoga… Tu sais, la plus grande fierté pour un maître est d'avoir été vaincu par son élève…
Hyoga : Nooooonnn !!!! Je ne voulais pas ! Mais qu'ai-je fait ? J'ai tué une nouvelle fois mon maître !

Le chevalier du Cygne se mit alors à pleurer à chaudes larmes et il ne vit pas une ombre qui se tenait immobile à le regarder. Celle-ci s'en alla un sourire en coin mais ne remarqua pas une lumière dorée envelopper le corps de Hyoga.

*

* *

Le Pandémonium.
Trois chevaliers se relevèrent alors. Deux d'entre eux avaient les yeux vides, comme si leurs âmes leur avaient été spoliées. L'autre par contre, avait dans ses yeux une lueur de colère.

Loki : Tiens, il semblerait que l'un des trois ait malgré tout réussi à contrer mon illusion…
Canon : Loki, sache que mon nom est Canon et que je suis passé maître dans l'art de l'illusion. Alors ce n'est pas ta pitoyable attaque qui pourra m'atteindre. Et sache aussi que même si je ne suis qu'un homme, j'ai en moi la force d'abattre des montagnes et des dieux. Dis-moi où sont les armures et je te laisserais la vie sauve !!!

Loki : Alors commençons par le commencement… Un : les armures ont déjà été revêtues. Deux : personne ne s'adresse à moi sur ce ton. Et trois : je donnerai cher pour te voir mourir de la main des deux autres. MICHEL ! RAPHAËL ! Saisissez-vous de lui et tuez le, et puis si vous le pouvez, rapportez-moi sa tête. Et faites ça ailleurs je ne veux pas que mon palais soit détruit.

Canon avait le choix, affronter deux chevaliers divins en même temps alors qu'un seul d'entre eux aurait réussi à le vaincre ou tenter de fuir pour le moment et regrouper les forces pour commencer un combat désespéré. Le choix était difficile, non pas qu'il ait peur car il était tout sauf un homme que la peur pouvait influencer mais il avait des responsabilités : il était l'avant-garde d'une grande bataille et il ne pouvait se permettre de mourir sans faire un maximum de dégâts… En ce moment il n'en avait pas la possibilité, il opta donc pour la deuxième solution.

Canon : QUE SE CRÉE UNE AUTRE DIMENSION !!!!!

Il s'engouffra dans l'ouverture qu'il venait de faire, un lieu séparant un plan d'existence d'un autre et, sûr de ne pas être dérangé, il attendit son heure. Mais c'était sans compter sur les formidables capacités des anges, ils avaient réussi à le suivre à travers les dimensions… C'était tout bonnement incroyable !

Comme un seul, Raphaël et Michel ne perdirent pas leur temps et se jetèrent sur Canon, le premier coup fut porté par Raphaël à la tête, le casque de Canon vola au loin, le second coup fut porté par Michel qui fit voler Canon lui-même au loin. L'ange du Renouveau était estomaqué. Il remit son casque et se releva… Il allait devoir les affronter, et en pensant à cette alternative, un petit sourire apparut sur ses lèvres. Il ne savait pas pourquoi mais les causes désespérées étaient siennes, et il aimait ça. Ce regain de confiance donna à son armure une teinte dorée… Il n'était pas un enfant de chœur et il allait pouvoir le prouver…

Canon : En garde !!!!

Les deux chevaliers se mirent en garde, ils ne parlaient pas… Si leurs cosmo-énergie ne s'étaient pas développées dans des proportions absolument incroyables, Canon lui-même aurait juré qu'ils ne vivaient pas. Et alors que les anges dirent chacun deux mots, les enfers se déchaînèrent !

Raphaël : APOCALYPSE CRUSH !!!!
Michel : COSMOS CLASH !!!!
Canon : GALAXIAN EXPLOSION !!!

C'est alors que l'attaque de l'ancien chevalier d'or des Gémeaux fut balayée comme un fétu de paille. Canon ne pouvait plus bouger, il ne pouvait plus sentir son cosmos, l'attaque de Michel était trop forte… Comment pouvait il espérer bloquer l'attaque de Raphaël qui fondait sur lui ??????

C'est alors qu'un cliquetis, une palpitation, un mouvement de son bras qu'il ne contrôlait pas, une pression de sa paume lui fit ressentir une formidable énergie qui se déployait au travers de son corps… Il tenait une épée dans sa main et sans qu'il s'en rende compte, une attaque avait été envoyée sur ses adversaires. Toute sa vie, Canon avait vécu à la vitesse de la lumière et dans sa main, il tenait Antamium, l'épée de la vengeance et avec elle, il se sentait invulnérable… Mais ses espoirs furent de courte durée car il vit alors Michel et Raphaël dégainer Aegis et Antrax.

Raphaël : ANTRAX DESTRUCTION !!!
Michel : AEGIS EXTERMINATION !!!

La première attaque brisa son armure en plusieurs points et il vit défiler devant ses yeux des geysers de flammes tels que les démons des abysses n'auraient pu mieux faire. La deuxième attaque, il ne la vit même pas venir. À dire vrai, il n'avait même pas vu Michel lancer le bouclier et il le reçut dans le dos. Son armure était en lambeaux, il saignait par tous les pores de sa peau, et Raphaël allait simplement lui couper la tête pour la ramener à son maître…
À ce moment là, il se rendit compte que du sang coulait du ventre de l'ange de la Destruction. Canon avait réussi à le blesser avec son épée… Il commençait donc à maîtriser ses pouvoirs.
Soudain, un bruissement d'air et un choc sourd le ramena à la réalité… Quelqu'un venait d'arriver et le cosmos que cet homme dégageait était impressionnant.

Inconnu : Pourquoi le destin me force t-il à combattre ceux qui sont mes amis ? Je ne le comprendrais jamais mais ce que je comprends par contre, c'est que mon devoir doit être fait et je ne laisserai personne m'empêcher de le faire… Canon, réveille toi, je vois que tu as choisi Raphaël, je m'occupe donc de Michel.
Canon : Gabriel ??? Mais c'est impossible comment as-tu… ?

Gabriel : Pas le temps de discuter… Ne porte que des coups mortels et utilise les attaques que t'a enseignées l'armure. Laisse la faire partie de toi, ne fais plus qu'un avec elle et tu maîtriseras tes pouvoirs comme seul un dieu peut le faire. Aucun de nous n'est en parfaite phase avec son armure, c'est pourquoi tu as une chance de gagner. Mais sache qu'à ce niveau, maintenant que nous sommes à un contre un, la moindre erreur sera fatale.
Canon : Qu'il en soit ainsi…

Alors les combats commencèrent, Gabriel commença son combat contre Michel, et Canon se prépara à continuer son combat avec Raphaël…

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Cette fiction est copyright Gilles Sery et Imran Akhoun.
Les personnages de Saint Seiya sont copyright Masami Kurumada.