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Bonjour à tous ! Bon, donc nous sommes deux potes de la Réunion, Gilles (c'est moi) surnommé Croustibatard ou encore Crousti et Imran surnommé amicalement Ze Rabza qui sommes fans de Saint Seiya et comme tout le monde ici, c'est notre série culte. C'est pourquoi, nous avons décidé nous aussi d'écrire une fanfic. Ça va encore augmenter leur nombre déjà conséquent mais comme on dit les bonnes choses n'ont pas de fin. En fait, ce qui nous a motivé c'est la fic du Zeus Chapter qu'on trouve vraiment trop bien. Mais, il faut quand même que vous sachiez que c'est notre première fic alors svp un peu d'indulgence. Sinon, on a lu énormément de fics tous les deux et il se peut qu'on ait pu être influencé malgré nous par elles. C'est pourquoi, nous tenons à dire que si vous trouvez une ressemblance avec telle ou telle fic, ce ne serait qu'une coïncidence purement fortuite et involontaire. À part ça, je ne pense pas qu'il devrait y avoir trop de différences d'écriture vu qu'on se corrige mutuellement jusqu'à avoir quelque chose qui nous satisfait. :) Bon, on va essayer de pas perdre trop de temps et je vais vous dire les éléments nécessaires pour comprendre notre fic. Alors celle ci se passe après la mort d'Hadès.(Vachement original !) et nous avons décidé de ne prendre que les éléments du manga en ne gardant du DA que la partie Asgard. En effet, notre saga étant nordique je ne pense pas qu'il soit possible d'omettre complètement cette partie. Elle a été trop importante pour ne pas en parler au moins un minimum. On considère ensuite que Hyoga et Shiryu ne sont plus ni borgne ni aveugle. Comme ils ont été en Enfer et qu'ils se sont éveillés au septième sens, leurs blessures se sont guéries d'elles-mêmes.(cf combat entre Shiryu et Masque de Mort). Et pour les petits malins qui diraient que Hyoga s'est fait crever l'œil, je leur répondrais de mieux revoir le combat de Shiryu (toujours lui) et Argol. Alors, maintenant je crois avoir fait le tour et je vous souhaite donc une bonne lecture en espérant que vous y prendrez du plaisir à la lire… Ni artrouv'. |