Chapitre 5 : Retrouvailles


Athéna :

Quelle surprise nous avaient-ils faite en rentrant dans cette salle de réunion ! !
Nous les pensions morts et même moi, leur déesse, je n'avais senti ne serait ce qu'une fraction de seconde la présence de leurs cosmos sur Terre. Il faut dire que je n'avais pas vraiment cherché à le faire puisque leur perte était assez douloureuse pour remuer encore une fois le couteau dans la plaie.

Après un long, très long moment d'embrassades, nous avions décidé de reporter la réunion. De toute façon, nous n'avions plus le cœur à ça et il fallait prendre en compte de nouveaux paramètres, treize pour être exacte.

Au bout de quelques temps, chacun de chevaliers d'or avait décidé de rejoindre leurs temples car ils étaient encore en convalescence et le voyage (et les embrassades mais ils n'osèrent le dire) les avait épuisés. Même 15 jours de repos forcé n'avaient pas suffi à leur rendre toutes leurs forces.

Chacun fut suivi ou rejoint par un autre chevalier qui désirait lui parler, ce qu'ils n'avaient pu faire depuis longtemps pour la plupart.

Mü :

J'avais entrepris de descendre les marches des douze maisons car la mienne était la plus éloignée lorsque Kiki qui m'avait suivi à distance (environ un mètre, il est encore tellement abasourdi par mon retour qu'il ne veut plus me quitter d'une semelle) me proposa de nous téléporter dans ma maison. Avant même d'avoir pu réagir nous étions dans mon temple, qu'il me semblait avoir quitté depuis des siècles.

A mon réveil, il était endormi, la tête sur le bord du lit, où il avait du " essayer " de me veiller cette nuit malgré son jeune âge. Je décidai de le laisser dormir en me levant le plus discrètement possible mais rien n'y fit et il se leva en même temps que moi en se maudissant de s'être assoupi.

Nous décidâmes de rejoindre une salle attenante à la chambre et à la salle principale du temple. Là, nous pûmes discuter tranquillement des derniers évènements dont il voulut connaître les moindres détails. Tout cela dura toute la journée car il ne lassait pas d'entendre mes aventures et il tint à me raconter la fin du combat contre Hadès qu'il tenait des bronzes eux-mêmes.

Je pense que je lui ais manqué mais je vais le faire mariner un peu avant de lui dire qu'il m'a manqué à moi aussi.

Aldébarran :

J'avais moi aussi quitté la " petite fête " peu après Mü. Je suis parti discrètement pour aller me mettre au calme de mon temple, mais je me rendit vite compte que j'oubliais quelque chose ou plutôt quelqu'un. Mick, c'est comme cela que nous l'appelions depuis 15 jours, se tenait un peu à l'écart puisqu'il ne se sentait pas vraiment à sa place. Il avait bien un peu lié connaissance avec Kiki mais celui là venait de partir donc il s'était reculé sur le bord de la salle.

Je me dirigeai donc vers Athéna et lui parlai un peu à l'écart. Elle écouta attentivement ce que j'avais à dire et ne répondit pas, elle hocha seulement la tête en signe d'accord.
Je me tournai donc vers Mick et lui faisais signe de me suivre.

En chemin je lui expliquai qu'Athéna l'avait autorisé à rester quelques temps au sanctuaire en remerciement et je lui avais proposé de le loger pendant ce temps là. Nous étions devenus assez proches. Enfin, il était plus proche de moi que des autres Gold saints. Il était tellement épuisé pour son jeune âge qu'il s'endormit comme une souche en arrivant à mon temple.

Le lendemain nous avons discuté toute la journée et, bien que nous lui en ayons parlé, il était abasourdi devant les armures d'or. Nous avons continué jusqu'à ce que Mü et Kiki nous rejoignent pour la fin de la journée.

Saga :

Nous étions de nouveau réunis pour la première fois depuis longtemps, trop longtemps. Oh mon frère comme tu m'avais manqué pendant toutes ces années et surtout un peu déçu lorsque, comme Aioros, j'avais suivi la bataille contre Poséidon depuis le monde des morts.
Mais quelle meilleure manière de se rattraper que de se sacrifier pour celle que l'on avait auparavant combattue, sans parler de l'épisode avec Milo et ses aiguilles.

J'avais moi aussi fait des choses pas très louables durant mes années à la tête du sanctuaire; mais nous avons parlé comme deux frères de tout ce qui nous était arrivé depuis le " fameux " Cap Sounion. J'étais fier qu'il ait choisi de porter mon armure pour défendre ma maison à ma place pendant l'Hadès.

Nous avons continué pendant une bonne partie de la journée jusqu'à ce que reçoive la visite plutôt imprévue d'Athéna. Je me suis senti mal à l'aise par rapport à elle pendant que Canon rejoignait la pièce où se trouvent nos couchettes, lui, a déjà été pardonné depuis un certain temps mais moi j'avais été mort et j'étais mort en traître.

Elle était venue me dire que sa confiance m'était accordée et qu'elle ne me tiendrait pas rigueur d'une certaine période où mon seul désir était de la tuer. Elle m'avait, pendant qu'elle parlait, adressé son plus joli sourire ce qui m'avait plus rendu heureux que tout ce qu'elle ait pu dire. La voir joyeuse en ma présence était à mes yeux le meilleur des pardons possibles.

Elle n'était pas restée très longtemps, je pense qu'il lui reste d'autres personnes à voir mais cela ne me regarde plus, même si j'en suis en partie responsable.

Deathmask :

J'étais rentré seul dans mon temple et m'étais retrouvé seul jusqu'au lendemain, mais cela ne m'avait pas déplu car je suis plutôt solitaire par nature. Mon premier geste en rentrant dans mon temple avait été de faire disparaître tous les visages des murs, je garde ça en réserve au cas où des ennemis viendraient mais je n'en avait plus usage dans la vie courante.

J'avais senti en parlant avec lui que Shiryu m'accordait son pardon pour mon passé et je lui en avais été reconnaissant pendant la soirée. Mais comme Saga, je me sentais coupable de mes actes envers Athéna et j'avais tenu à écourter un peu la soirée.

Mon temple m'avait semblé vide le lendemain sans ne serait-ce que la douce chaleur de la présence de l'armure mais celle-ci reviendra bientôt, je le sens.

Athéna avait traversé mon temple pour descendre et qu'elle ne s'arrête pas et se limite à un signe pour me dire bonjour m'avait troublé. Ce trouble m'envahit jusqu'au moment où elle est réentrée dans le temple en se dirigeant vers moi.

J'avais compris, elle venait de voir Saga et elle passait pour me sermonner moi aussi. Mais elle n'avait aucune mauvaises intentions et son cosmos bienveillant était perceptible même au repos. Elle était passée me pardonner mes actes et je ne pus rien faire d'autre que de lui promettre que plus jamais je ne lui ferai défaut et que je ferai tout ce qui serait nécessaire pour me racheter.

Elle m'avait alors répondu que de redevenir l'un de ses plus puissants défenseurs lui suffisait et je me promis à cet instant que plus jamais plus aucun ennemi ne traverserait mon temple sans encourir la colère du cancer.

Aiolia :

J'étais rentré seul à la maison du lion et je m'étais endormi de suite en laissant au lendemain toutes les questions sans réponses. Le soleil, celui-là même que nous avions failli ne plus jamais revoir, m'avait réveillé de très bonne heure et j'en profitai pour rendre une visite à mon frère pour parler pour la première fois depuis treize ans dans le temple du Sagittaire.

Nous avions, au contraire de Saga et Canon, pu nous entretenir en privé de ce qui nous était arrivé pendant toutes ces années. Eux avaient trop de choses à ressasser et surtout Canon devait se remettre de son combat contre Rhadamanthe qui l'avait presque laissé pour mort.

Si bien que la discussion nous parut brève, bien qu'elle dura en fait une bonne partie de la matinée. Je rentrai dans mon temple pour y trouver Marine, assoupie le long d'un des rares piliers encore debout. Elle avait du vouloir me rendre visite de bonne heure et avait décidé de m'attendre.

Nous avions ce que certains qualifieraient d'un début de relation amoureuse mais qui n'était, pour l'instant, à nos yeux que de simples moments de discussion. Enfin, chaque chose en son temps, nous venions juste de revenir et déjà il faudrait se remettre de cette guerre avant d'envisager autre chose.

J'ai fini par la réveiller après, je l'avoue, l'avoir regardée calmement dormir un moment et nous avons fini de passer la journée ensemble à parler de cette guerre et je lui racontai ce qui m'était arrivé dans les Enfers dans le détail. Nous finîmes par rejoindre chacun nos appartements à la nuit tombante pour savourer ce sommeil réparateur qui nous attendait.

Shaka :

Le combat avait laissé ma maison dans un état désastreux mais les ouvriers du sanctuaire avaient déjà commencé à la rebâtir depuis les 15 derniers jours et je trouvais donc une chambre presque neuve, ce qui me fit plaisir, contrastant avec l'aspect encore délabré de mon temple.

Je m'endormis sans penser une seule seconde à méditer pour me calmer l'esprit car j'étais éreinté par cette journée. Le lendemain matin fut si calme que ma méditation me permit de reprendre des forces, plus mentales que physiques.

L'après-midi vit Ikki effectuer une visite là où il avait effectué le plus fabuleux de ses combats, m'avait-il confié au lendemain du combat contre Poséidon. Nous avions conservé des liens assez intenses de notre affrontement, je l'avais poussé à atteindre le septième sens et il avait été le premier homme à me faire douter et à " presque " me battre, je ne doute pas qu'il l'aurait fait au vu de tout ce qu'il a pu accomplir depuis.

De plus nous étions tous deux maîtres de l'esprit de part nos attaques et chacun admirait le talent de l'autre pour ce domaine. Il était solitaire tout comme moi et le calme lui permettait de se ressourcer, si l'intérieur d'un volcan peut être qualifié de calme. Et c'est l'habituelle sérénité régnant ici qui le poussait à rejoindre ce temple aujourd'hui en morceaux.

Dohko :

Mon disciple avait tenu à redescendre avec moi dans mon temple. C'était, non seulement pour me tenir compagnie à moi son " vieux " maître, mais pour récupérer les affaires qu'il avait laissées dans ce temple. Il n'était pas gêné de quitter ce temple mais il était ravi que son propriétaire légitime vienne s'y réinstaller.

Nous nous sommes retrouvés le lendemain pour parler de l'Hadès et de ses énormes progrès, je n'avais plus rien à lui apprendre, que ce soit en puissance ou en sagesse. Il avait atteint un tel niveau que j'étais fier de lui ( et de moi, je dois être un bon maître après tout). Il était un peu désolé de ne pas avoir pu mieux maîtriser l'armure de la Balance et surtout n'avoir pas pu l'empêcher d'être détruite. Mais, à toute chose, malheur est bon, et mon armure maintenant dans son urne dormait dans un coin de la pièce.

Il avait de plus obtenu une armure surpassant de loin celle de la Balance et il n'aura plus à porter la mienne. Nous avons donc étudié son armure qui nous avait rejoint dès qu'il l'avait mentalement appelée et je fus étourdi par la puissance qu'elle dégageait.

Nous avons donc passé la journée à discuter, avant qu'il ne me quitte pour voir quelqu'un d'autre, et nous avons fait porter un courrier à une jeune fille que nous avions laissé seule dans les montagnes de Chine en lui disant de nous rejoindre dès que possible. Oui, il serait bon de revoir Shunrei aussi maintenant que la guerre est terminée.

Milo :

Mon temple m'avait paru merveilleux tellement il m'avait manqué pendant ces quelques jours qui nous ont pourtant semblé des siècles. Je trouvais vite le sommeil et en profitais pour faire la grasse matinée, chose suffisamment rare pour être soulignée.

Je fus réveillé par une présence dans mon temple que m'avait signalée mon sixième sens, mais je reconnus bien vite cette présence et me préparai tranquillement au lieu de sortir négligemment.

Nous avons parlé comme de vieux amis, car notre combat nous avait plus rapprochés que séparés. La matinée se termina assez vite étant donnée qu'elle était déjà bien entamée au moment de son arrivée et il me quitta vers midi pour rejoindre l'avant dernière maison du zodiaque et tous ces souvenirs. Le reste de la journée fut suffisamment calme pour profiter du soleil et récupérer des forces.

Aioros :

Après avoir reçu la visite de mon frère le matin, j'avais réfléchi sur notre situation : c'est fou, j'étais mort en étant de loin son aîné et maintenant il était plus vieux que moi et lui aussi chevalier d'or. J'avais perdu mon privilège d'aîné même si dans son esprit il n'en était rien.

Mes réflexions furent interrompues par celui qui, je n'en doutai pas, me rendrait visite à un moment ou à un autre. Celui qui avait si souvent été mon successeur pas son courage et sa volonté de vaincre qui avait fait que je lui avais prêté si souvent mon armure dans les situations désespérées.

J'avais suivi toutes ses aventures avec mon esprit et si j'avais sauvé Athéna bébé, elle vivait encore aujourd'hui grâce à lui et à sa farouche volonté. Il avait été surpris de me voir revêtu de cette armure qui était presque sa seconde armure mais dont la puissance était négligeable par rapport à celle divine de Pégase. Nous avons donc discuté d'homme à homme tout le reste de la journée en parlant de nos expériences et de cette armure que nous avions partagée si souvent.

Il m'avait remercié de l'avoir aidé si souvent en lui prêtant celle ci juste avant de partir et je pensai une fois seul que si je ne l'avais pas fait, mon armure l'aurait sûrement choisi comme porteur légitime et il n'aurait peut-être pas accompli tous ces miracles depuis.

Shura :

J'avais passé la soirée, comme les précédentes, avec Aioros puisque nous étions amis depuis si longtemps qu'il m'avait pardonné pour l'avoir tué sous les ordres d'un Saga possédé. Moi le plus fidèle défenseur de celle qu'il avait protégé en y laissant la vie avait besoin de réfléchir seul et c'est ce que je fis pendant une grande partie de la journée du lendemain.

Je reçus ensuite la visite " mon bourreau ", celui qui m'avait fait comprendre que je luttais pour la mauvaise cause et qui avait voulu laisser sa vie pour la sienne. Je m'étais alors senti si ridicule que je lui avais fait don de mon bien le plus précieux, Excalibur, en lui sauvant la vie.

Nous avons discuté de ce combat est de son dénouement, il me remerciait de lui avoir légué cette arme qui l'avait aidé à vaincre si souvent. Je ne regrettais rien tellement il avait honoré ma mémoire en l'utilisant en ardent défenseur d'Athéna.

Il finit par rentrer dans les appartements se trouvant le long du palais puisqu'il ne pouvait plus loger dans la septième maison. La fin de cette guerre avait apporté bien des satisfactions avec ces jeunes Bronzes devenus des chevaliers divins.

Camus :

J'avais retrouvé l'atmosphère froide de mon temple, qui bien que vide depuis un certain temps avait retrouvé un occupant en la personne de mon fidèle disciple qui avait redescendu la température à des valeurs plus agréables pour les chevaliers du froid que nous étions.

J'étais fier de lui et de ce qu'il avait fait et j'allais pouvoir le lui dire puisque je sentais sa présence sur les marches entre le temple de Shura et le mien. Sa présence et sa maîtrise du froid me donnèrent presque des frissons dans le dos, si cela était possible bien sûr, tellement il rayonnait de froid intérieur et contenu.

Nous nous sommes regardés un certain temps avant de nous jeter d'un même élan dans les bras l'un de l'autre, même moi qui était pourtant réputés pour ne pas montrer nos sentiments facilement. Il était devenu comme moi un chevalier du froid et tellement plus encore en si peu de temps. Je lui avais ouvert la voie du septième sens lors de notre combat et légué mon arcane de combat qui l'avait si souvent fait triompher de ses ennemis.

Nous avons passé la journée ensemble à discuter de ses aventures depuis ce combat mémorable. Moi je n'avais que peu de choses à raconter mais je le laissai parler et le regardai fièrement, fier du travail accompli. L'élève avait depuis longtemps dépassé le maître. Et même si mon armure lui allait comme un gant, elle ne lui servirait plus car il était devenu trop puissant pour elle.

Il avait quitté la maison le soir pour se rendre dans ses nouveaux appartements attenants au palais. Le temple du verseau avait retrouvé son propriétaire légitime.

Aphrodite :

Ma maison me semblait vide lorsque je me suis couché dans ce lit si longtemps vide. Le lendemain, rien n'avait changé sauf peut-être cette odeur qui venait me chatouiller les narines. Cette senteur ne pouvait me tromper, c'était celle des roses. Je sortis pour voir d'où elle provenait et je découvris mes parterres dans l'état où ils étaient avant ma mort, parfaitement entretenus.

Je fus ébloui par un rayon de soleil un peu plus violent que les autres et m'aperçu à la position du soleil que j'avais dormi plus que ce que j'avais pensé. C'est alors qu'une silhouette se dessina à l'entrée de mon temple.

Arrivant : Elles ont été difficiles à faire repousser. Maintenant ma tâche est faite et c'est à toi de les entretenir comme avant.

J'aurais dû m'en douter, une seule personne pouvait avoir pris soin de mes roses comme cela.

Aphrodite : Merci, ….. SHUN !

Lui seul possédait la douceur et la patience nécessaire à ce travail minutieux. Il avait été celui qui m'avait fait douter et m'avait battu, mais sa pureté était telle que je ne pouvais lui en vouloir, d'autant plus qu'il avait raison en pénétrant dans mon temple et encore aujourd'hui.

Un sourire éclairait son visage et je me mis à sourire à mon tour. La bonne humeur était de mise depuis notre retour. Nous avons discuté calmement des roses tout d'abord puis de lui et ses prouesses. Je n'avais jamais compris pourquoi il n'utilisait pas sa terrible attaque dés le début du combat et attendait d'être à moitié mort avant de le faire, mais il est toujours là ce qui prouve que ses choix n'altèrent en rien son efficacité.

C'est cette pureté qui nous rendait si proche, même si mon âme ne pouvait décemment être qualifiée de pure, je la recherchai dans le quotidien à travers mon image et bien d'autres choses.

Il m'avait quitté en me disant qu'il serait bientôt de trop et je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulait dire. Ses perceptions devaient être supérieures miennes car il n'était pas sorti depuis deux minutes que quelqu'un d'autre montait dans mon temple.

Elle venait donc à ma rencontre après tout ce que j'avais fait, j'avais servi un traître voulant la tuer et ce même motif m'avait servi d'excuse pour revenir d'entre les morts. Mais elle était venue comme pour Saga et Deathmask auparavant pour m'assurer sa confiance et son pardon.

Sa visite fut relativement courte et je passai le reste de la journée à remettre un peu d'ordre dans ma maison.


Pour la première fois depuis longtemps, trop longtemps, les douze maisons du zodiaque avaient retrouvé leurs propriétaires et Athéna ses douze plus puissants défenseurs, enfin en théorie.

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