Pour rappel, les chevaliers doivent accomplir une bonne action pour accéder à la Tour de Frigoman, qui est protégée par la Muraille de Paille. Dans une école... VM : Bonjour les enfants ! Aujourd’hui, c’est moi qui vais vous donner votre leçon d’histoire ! Je suis né... Je me souviens plus. Il y a des siècles... Ca me rappelle quand je suis devenu un chevalier d’Athéna... Je me suis entraîné durement, avec mon maître qui a vécu au temps des dinosaures. Ca me rappelle aussi qu’un jour, il avait croisé un Tyrannosaure, mais grâce à son savoir millénaire, il est parvenu à le vaincre... Et ça me rappelle également cette légende : blablabla... A cette époque, blablabla... Et je me suis battu contre un chevalier blablabla... Quand j’étais jeune blablabla... Au bout de l’heure de cours, les élèves sont toujours là : ils ne dorment pas, ils écoutent avec beaucoup d’attention ! Un élève : Mais comment vous avez réussi à détruire les piliers en ce temps-là ? VM : De rage, on a lancé une assiette de riz dessus, et il s’est fissuré. Depuis, l’armure de la Balance possède deux boucliers en forme d’assiette de riz... Un autre élève : Qui a fabriqué les premières armures ? VM : C’était un type bizarre, mi-homme mi-chèvre... Un autre : Vous avez dit que les chevaliers protègent Athéna. Mais à quoi elle sert ? VM : Oh, c’est juste un jouet ! Un dieu l’enlève, et puis on part à sa recherche ! Sinon, on s’ennuierait toute la journée... Un peu plus loin, dans une autre classe... Hyoga : Bonjour ! Je suis votre professeur de littérature... Qu’est ce que vous voyez actuellement ? Un élève : Oedipe ! Hyoga : Et que savez-vous d’Oedipe ? Elève : Qu’il aimait sa maman ! Hyoga : Comme moi ! Quoi d’autres ? Elève : Il a affronté le Sphinx, qui lui posa une énigme ! Hyoga : Quelle énigme ? Elève : Qu’est ce qui a quatre pattes le matin, deux à midi, et trois le soir ? Hyoga réfléchit. Ce n’est pas un pingouin, ni un phoque, ni un ours polaire... Mais quel est cet animal ? Hyoga : Et c’est... ? Elève : On sait pas, on était arrivé là ! Alors, c’est quoi ? Hyoga : Euh... Eh bien c’est... Euh... Elève : Oui ? Hyoga : Un Pattosaure ! Elève : C’est quoi cet animal ? Hyoga : C’est un animal à quatre pattes, et puis euh... A midi, il perd deux pattes... Elève : Comment il perd ses pattes ? Hyoga : C’est euh... un Pattivore qui vient le matin et qui lui mange deux pattes ! Elève : Beurk... Mais comment il a trois pattes le soir ? Hyoga : Ca, c’est le Pattivore... Il n’aimait pas tellement les pattes, alors il lui en rend une, que le Pattosaure recolle ! Elève : Ah... Et le matin suivant, il a de nouveau quatre pattes. Comment ça se fait ? Hyoga : Euh... Cette quatrième patte pousse uniquement la nuit ! Les élèves sortent de la classe et parlent du cours dans le couloir. Un élève : Faudra faire attention en sortant, s’il y a un Pattivore dans les parages... Deux personnes les écoutaient. Directeur : Vous voyez ? Il faut vraiment que ce soit vous qui donniez cours, sinon ils finiront abrutis ! Vous êtes irremplaçable ! Prof : Bien, c’est d’accord, je vais reprendre le cours... Dans la cour... Aldébaran est avec trois élèves. Aldébaran : Toi, tu vas jouer au tennis contre moi... Toi, au hockey... Et toi, à la boxe ! Elève : Mais vous êtes trop costaud ! Aldébaran : Je n’utiliserai que mes petits doigts ! Dix minutes plus tard, un élève est en train de digérer la balle de tennis (et les dents) qu’il a avalé, un autre essaie de retirer le palet figé dans son postérieur, et le dernier est en train de se regonfler. Aldébaran : Vous n’êtes pas très fort ; alors, on va passer à quelque chose de plus facile ! Vous allez me faire 100 fois le tour de la cour avec des haltères de 100 kilos à chaque main ! Au bout d’une demi-heure, les pauvres élèves sont en train de se traîner... que dis-je ? ! de ramper ! Aldébaran : Maintenant, vous allez faire 1000 pompes avec une seule main ! A la fin du cours, les élèves sont morts de fatigue. Le directeur, de son bureau, regarde la scène d’un air satisfait. Directeur : Je savais bien que c’était meilleur que n’importe quelle punition ! Amenez-les moi ici ! Les élèves arrivent chez le directeur en rampant. Directeur : Alors Jean-Seyar, tu feras encore des graffitis sur les murs ? Jean-Seyar : Plus jamais, c’est juré ! Directeur : Et toi Jean-Shiryu, tu arrêteras de lancer des grains de riz sur les autres à la cantine ? Jean-Shiryu : Promis monsieur... Directeur : Et toi Jean-Hyoga, tu ne lanceras plus des boules de neige sur les autres, j’espère ? Jean-Hyoga : Je n’oserais plus... Dans une classe bruyante... Shun : Bonjour euh... Je vais vous faire un cours sur euh... la morale. Un élève : Tais-toi ! Shun : Mais euh... Je suis le professeur... Elève : Silence ! Fiche-nous la paix ! Shun : S’il vous plaît euh... Je peux avoir le silence ? Un élève lui lance une boule de papier et l’insulte. Shun : Si vous n’êtes pas sage, Ikki va venir vous punir ! Elève : C’est qui ? Shun : Mon frère ! Shun sort la figurine Ikki de sa poche et lui met son armure. Elève : Eh bien, vous êtes ridicules dans votre famille ! Un avec des cheveux verts, et l’autre avec des bleus ! Ah ! Ah ! Ah ! Shun : Chuuuuut ! Moins fort ! Ikki pourrait vous entendre ! Un élève s’approche de la figurine. Elève : C’est de ça qu’on doit avoir peur ? ! Il se met en position de combat et cogne la figurine. D’autres élèves approchent et l’écrasent à coups de pied. Shun, criant : Arrêtez ! ! ! Mais arrêtez ! ! ! Un élève : Tiens Ikki, prends ça ! Un autre élève : Trop nul, ce Ikki ! Hi ! Hi ! Hi ! Ils continuent à piétiner la figurine. Shun devient tout rouge et BANG ! Un élève vient de voler d’un bout à l’autre de la classe ; il est encastré dans le mur. Les autres se retournent et deviennent tout blanc. Un élève : Pardon monsieur, on... GIGA-BAF ! L’élève est collé au plafond. Les autres essaient de fuir, mais Shun les arrête en les attrapant avec sa chaîne. Il les prend un par un et leur met une correction. VLAN ! CRASH ! Les semeurs de désordre sont tous KO, dans les murs, dans le sol, dans le plafond ou dans une poubelle. Après un quart d’heure, Shun s’est calmé et donne son cours. Shun : Alors euh... On va parler de euh... Je sais pas... Ikki par exemple ? Vous savez qui c’est ? Un élève : C’est le plus fort ! Un autre élève : Le plus beau ! Un autre : Le plus courageux ! Un autre : Le plus gentil ! Le directeur passe devant la fenêtre ; il est accompagné de l’inspecteur. Directeur : Cette classe-ci est un peu... turbulente... Inspecteur : Un peu turbulente ? ! Le directeur tremble, il pense que les élèves ont vraiment fait un gros bordel. Il ose regarder à l’intérieur de la classe ; il craint le pire. Shun : Qui peut me dire la constellation de ce brillant chevalier ? Un élève : Le Phé... Shun : Lève ta main avant de parler ! Elève : Oui, pardon... Directeur : Pardon ? ! Ils connaissent ce mot ? ! L’inspecteur tend sa main au directeur. Inspecteur : Félicitations ! Vous faites un excellent travail ! Maison de Milo... Spartan est devant la télé ; Shaka en avait une aussi, mais Zeus l’a grillé d’un coup de tonnerre. Milo la regarde quand passent les épisodes des ‘Loufoques du Zodiaque’ ; il a même enregistré les épisodes où il s’amuse sur les chevaliers de Bronze, mais il a coupé quelques scènes, comme celle où Hyoga lui met un uppercut. Spartan : Tiens ? C’est quoi ce dessin animé ? Télé : Frigoman aide les enfants... Sauve les innocents... Et bat tous les méchants... En les refroidissant ! Spartan : Frigoman ? ! Télé : Frigoman ! Tu es mille fois plus fort que Batman ! ... Frigoman ! Avec un doigt tu bats Superman ! SuperCarton : Frigoman ? ! Spartan : SuperCarton, ici ? ! Déjà ? ! En effet, SuperCarton est là avec son dernier Animo, qui reste pour s’occuper de Spartan. Animo : Quelle est ta constellation ? Spartan : J’sais pas ! Mais je suis fort en télé... Animo : On l’a vu quand on est arrivé ! Spartan : Je voulais dire : télékiné... quelque chose... Animo : Télékinésithérapie ? Spartan : Non... Un truc comme le bêleur... Spartan regarde son adversaire, qui porte une grosse armure rose, avec des ailes. Spartan : Et toi, qui est un Animo, quel animal représentes-tu ? J’arrive pas à le deviner ! Animo : C’est facile ! Essaie ! Spartan : Une armure rose... T’es le chevalier du cochon ? Animo : Non ! Spartan : Du porc, alors ? Animo, énervé : Non plus ! ! ! Spartan : Je vois pas... Animo : C’est pourtant simple ! Je suis le chevalier de l’Eléphant Rose, Flapflap ! Spartan : L’Eléphant Rose ? ! C’est une blague ou quoi ? ! Flapflap, vexé : Tu vas vite regretter tes paroles ! Disparais ! Par l’Envol de l’Eléphant Rose ! Le coup surpuissant de Flapflap fait rebondir Spartan au plafond, puis au sol, puis au plafond, puis au sol... Ce manège dure environ une minute. Spartan est hors de combat. Dans un cirque... Présentateur : Et voici notre dompteur, Ayor ! Ayor entre sur scène, habillé en clown. Présentateur : Euh... Soyez indulgent avec lui, il est nouveau... Ayor se retrouve vite seul avec des tigres, qu’il fait obéir parfaitement. Ayor : Donne la papatte ! ... Bien... Puis, il prend trois tigres et jongle avec, devant un public bouche bée. Présentateur : Génial ! Faites entrer les lions ! Avec les lions, c’est encore mieux. Ayor : Donne la papatte, le chaton ! ... C’est bien ! Et il jongle aussi avec les lions. Le public adore, le cirque est sauvé ! Présentateur : Fantastique ! Il est sublime ! Je crois qu’on peut le laisser dompter les aliens ! Ayor : Les quoi ? ! Quelques aliens avancent droit vers Ayor, qui est mort de peur. Ayor : Dodo... Donnez lala... la papatte... Les aliens lui répondent en ouvrant leurs bouches qui laissent tomber de la bave. Ayor, s’enfuyant : A l’aide ! ! ! Le chevalier du Lion est poursuivi par les aliens, qui s’arrêtent soudainement. Présentateur : C’est quoi, cette musique ? Mime : Mon requiem... Ayor : Sauvé... Merci Mime ! Tous les aliens s’assoient et écoutent la harpe. Tous sauf un, qui est derrière Mime. Ayor : Mime ! Derrière-toi ! Un alien ! Mime : Impossible... Ils sont tous charmés par ma harpe... Qui pourrait y résister ? Présentateur : L’alien sourd ! Mime tressaute, se retourne et crie. Mime : Aaaaaaaaaah ! ! ! Papa, à l’aide ! ! ! Père : Me voilà ! Mime : Mais non, pas toi ! Je veux mon papa adoptif ! ! ! Père-adoptif : Je suis là, mon petit... Mime : Papa, tue cet alien, il me menace ! Père-adoptif, suant devant l’alien : Euh... Bonjour mon petit... Gentil... L’alien s’apprête à tuer le père adoptif de Mime. Ayor : Par la Corne du Lion ! ! ! L’attaque fulgurante d’Ayor vient de vaincre l’alien d’un seul coup ! Plus loin... Saga : Mais je suis pas magicien, moi ! Chef : Le nôtre est malade, remplace-le aujourd’hui ! S’il te plaît ! Saga accepte et monte sur scène. Il prend un jeu de cartes. Saga-bleu : Bonjour à tous ! Vous voyez cette carte ? ... Hop ! Elle a disparue ! Elle est dans le chapeau du monsieur au fond ! Les spectateurs vérifient ; c’est vrai ! Saga a réalisé ce tour à la vitesse de la lumière et ils n’ont rien vu. Saga-gris s’adresse à Saga-bleu, dans leur tête. Saga-gris : Pas terrible, ton tour. A deux, on peut faire mieux ! Ecoute, j’ai une idée... Saga-bleu : Chers spectateurs, je vais maintenant changer la couleur de mes cheveux ! Et les cheveux de Saga passent du bleu au gris. Le public est épaté ! Un spectateur : Et ses yeux, ils sont tout rouges ! ... Il a l’air méchant comme ça... Saga-gris : Quoi ? ! Viens ici ! Spectateur : Euh... Je plaisantais ! Saga-gris : Perds le sens de l’odorat ! ... Maintenant viens ici, ou je te transforme en cadavre vivant ! Le spectateur obéit et monte sur scène en tremblant. Saga-gris : Et à présent, je vais vous montrer un tour grandiose ! Je vais le faire disparaître devant vous ! Que se crée une Autre Dimension ! ! ! Spectateur, disparaissant : Aaaaaaaaaah ! ! ! Saga-gris : Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Les cheveux de Saga redeviennent bleus. Saga-bleu : Ne vous inquiétez pas, il va revenir ! Saga rouvre un passage dimensionnel et fait revenir sa victime. Sur une scène de théâtre... Chef : T’as bien compris ton rôle ? Cette pièce est très importante pour nous ; si on ne séduit pas le public, on est mort ! Albéric : Comme vous voulez... Mais elle est nulle, votre pièce... Un acteur se met devant la scène et explique ce qu’ils vont jouer. Acteur : C’est la suite de Blanche-Neige. Elle vit heureuse avec son prince charmant, mais la vieille sorcière n’est pas morte... C’est parti ! Le prince charmant entre sur scène, suivi de Blanche-Neige... Alors Albéric ? ! Albéric, grognant : Ca va, j’arrive ! Albéric est sur scène. Ce n’est pas de chance que celle qui devait avoir son rôle soit tombée malade, ils ont dû trouvé un remplaçant en vitesse. Prince : Alors, ma princesse, vous avez bien dormi ? Albéric : J’suis pas une princ... Chef : Ton texte ! Ton texte ! ! ! Albéric : Oui, merci. J’ai rêvé que je me trouvais dans un champ de fleurs à vos côtés... Quelle connerie ! Chef : Chuuuuut ! ! ! Prince : Et cette robe vous va à ravir ! Albéric : Si tu veux tu peux la mettre espèce de... Chef : Arrête ! ! ! Albéric : Oh, merci ! Vous aussi, vous êtes joli... Maintenant, les sept nains entrent sur scène. Prince : Voilà vos fidèles nains ! Albéric : Ils me rappellent ce microbe de chevalier de la Balance... Chef : Mais tais-toi ! Le public commence à être déçu. Un nain : Blanche-Neige ! Vous êtes ravissante ce matin ! On vous l’a déjà dit ? Blanche-Neige : Le prochain qui me dis ça, je lui mets une rouste ! Tout à coup, la veille sorcière entre avec son époux, un sorcier. Sorcière : Blanche-Neige ! C’est fini ta vie de princesse ! Tu passeras le reste de ton existence dans un cimetière ! Ah ! Ah ! Ah ! Albéric : Chouette ! ! ! Sorcier : Et ton prince charmant, on le tuera et on t’enverra son squelette ! Albéric : Ouah ! ! ! C’est super, ça ! ! ! Le sorcier lance un sortilège sur le prince, qui s’écroule. Sorcière : C’est ton tour ! Meurs ! ! ! ... Eh ! Tu dois faire comme si mon sort t’avait touché ! Albéric : Quoi ? ! Tu te fous de moi ? ! Si tu tiens tellement à te battre... Que le Cercueil d’Améthyste se referme sur toi ! ! ! Chef : Mais qu’est ce qu’il fait ? ! L’actrice qui faisait la sorcière est enfermée dans le cercueil d’Albéric. Le sorcier panique. Albéric : Et toi, tu vas goûter à mon épée flamboyante ! ! ! VLAN ! SCRATCH ! Le public est vraiment surpris par la tournure des événements, et semble plus que satisfait de la pièce. Chef : Super ! Il est génial ! Les nains ! Continuez votre rôle normalement ! Les nains s’approchent en tremblant d’Albéric. Un nain : Princesse... Albéric, rouge de colère : Quoi ? ! BAF ! Un nain vient de s’envoler vers les étoiles. Un autre touche la robe d’Albéric, qui était mal mise. BONG ! Encore une victime. Un autre nain est encore suffisamment courageux pour s’approcher. Nain : Maintenant, il faut sauver le prince charmant... Vous devez l’embrasser ! Albéric, fou de rage : QUOI ? ! Pour qui me prends-tu, toi ? ! Vous me faites ch... ! Crevez tous ! ! ! Que les Forces de la Nature se déchaînent contre vous ! ! ! Le public se lève pour applaudir. Cette pièce est grandiose ! Maison du Sagittaire... SuperCarton vient de pénétrer dans le temple d’Ayoros. Près de la sortie, il découvre Astérion qui lui tourne le dos. SuperCarton : Laisse-moi passer ou je te mets en pièces ! Astérion, en larmes : Laissez-moi tranquille ! Snif... SuperCarton : Qu’est ce que t’as ? SuperCarton s’approche d’Astérion et constate qu’il regarde le mur, sur lequel il y a des inscriptions. SuperCarton : Qu’est ce que c’est ? Astérion, pleurant : Le testament d’Ayoros ! Bouhouhou... SuperCarton lit et commence lui aussi à pleurer comme une fontaine. SuperCarton : C’est si triste ! ! ! Ouin ! ! ! Astérion : N’est ce pas ? Je vais te raconter une tragédie... ... Donc, il y a 13 ans, le Grand Pope de l’époque était avec Saga... Pope : ... Et voici ma piscine... Saga : Wouaou ! ! ! ... Dis, tu veux pas prendre ta retraite ? Ca fait au moins deux siècles que t’es Grand Pope ! Pope : Et j’ai l’intention de le rester encore longtemps ! Je suis tellement heureux d’avoir une piscine privée ! Saga : S’il te plaît, je veux être Grand Pope ! Pope : Non ! J’veux pas ! ... Mais... Tes cheveux, ils changent de couleur... CLATCH ! Saga vient de tuer le Pope. Pope : Non ! ! ! C’est pas juste ! ! ! Saga : T’es mort alors tais-toi ! Pope : Sinon quoi ? ! Saga : Sinon, je te retue ! Voix : Ouin ! Ouin ! Saga : Non ! Un témoin ! Je dois la tuer ! Pope : Mais c’est la réincarnation d’Athéna ! Tu ne vas pas la tuer ? ! SLARF ! Le Pope vient de mourir une seconde fois. Saga : Silence maintenant, ou je te reretue ! Saga s’approche de Saori bébé et tente de la tuer avec un poignard. Mais Ayoros intervient. Ayoros : Saga, que fais-tu ? ! Saga : Eh ! T’es pas encore censé savoir que je suis Saga ! Ayoros : C’est ta faute ! T’as pas mis le masque du Pope ! Ni la robe ! Saga : Et alors ? J’ai pas envie d’avoir l’air ridicule ! Ayoros : Ok... Mais Athéna n’est qu’un bébé ! Elle n’a rien vu ! Tu vas pas la tuer ? ! Saori : C’est vrai, je ne l’ai pas vu frapper le Pope, ni le tuer une deuxième fois ! Saga et Ayoros : Quelle idiote ! Saga : Tu verras, elle sera toujours aussi bête plus tard ! Ayoros attrape Saori dans ses bras. Ayoros : Mais c’est Athéna ! On doit la défendre ! ... Beurk ! ! ! Elle me pisse dessus ! ! ! Ayoros lâche Saori et lui donne un coup de pied. Narrateur : Ayoros ! Ramasse-la, tu dois défendre Athéna ! Ayoros la reprend dans ses bras et... Ayoros : Eh ! ! ! Mais suce TON pouce, vilaine ! ! ! Saga : Tu veux encore la défendre ? ! Tant pis pour toi ! Tu mourras avec elle ! Ayoros : Attends, je vais la lâcher... Une fois qu’elle aura fini de me mordre le pouce ! ! ! Saga : Meurs, renégat ! ! ! Saga envoie une boule de feu sur Ayoros, qui s’enfuit. Il arrive chez Aphrodite. Ayoros : Aphrodite, écoute-moi ! Saga est fou, il a tué le Pope et a pris sa place ! Aphrodite : Et la robe n’est pas à sa taille, c’est ça ? C’est pas grave, j’en ai sûrement une qui lui ira ! Ayoros n’a pas le temps de discuter plus longtemps et descend chez Camu. Ayoros : Camu m’écoutera, lui ! Il arrive en courant et glisse sur les dalles. Ayoros : Camuuuuuuuuuu ! ! ! Mais il n’arrive plus à s’arrêter et continue à glisser les escaliers qui mènent chez Shura. Ce dernier est en train de frotter sa statue, mais Ayoros termine sa partie de ski en la percutant. Shura : Quel sacrilège ! Bousculer ainsi la statue d’Athéna ! ! ! Ayoros : Ecoute-moi... Shura : Silence ! Ton geste ne mérite pas le pardon ! Je vais te découper ! ! ! Ayoros s’enfuie en courant et arrive près de chez lui. Il fait très attention avant d’entrer. Ayoros : Ne faisons pas de bruit, le gardien de cette maison pourrait m’entendre... Il entre sur la pointe des pieds. Ayoros : Tiens, j’ai l’impression de reconnaître cette maison... Saori : Ouin ! Ouin ! Ayoros : Tais-toi, le gardien va nous entendre ! Saori, criant : OUIN ! ! ! OUIN ! ! ! Ayoros lui met une paire de claque. Il continue d’avancer et aperçoit une armure d’Or. Ayoros : Mais... Cette armure... C’est la mienne ! Et si c’est la mienne, ça veut dire que... C’est chez moi ici ! Tant mieux, on va sortir par mon passage secret. Mais avant, je dois rédiger mon testament ! Narrateur : Pourquoi ? Ayoros : Parce que je suis censé mourir bientôt ! Narrateur : Mais t’es pas censé le savoir ! Ayoros commence à écrire quelques lignes sur un mur. Une minute plus tard, il entend des bruits de pas qui se rapprochent. Ce doit être Shura qui vient le tuer. Ayoros : Zut ! J’ai pas le temps de dessiner des petites fleurs autour de mon texte ! Vite, prenons le passage secret... Mais où est-il déjà ? ! Il est tellement secret que moi-même je ne sais plus où il est ! Juste avant que Shura n’entre chez lui, il retrouve l’entrée de son passage secret et disparaît dedans. Il ressort loin du Sanctuaire. Ayoros : Sauvé ! Je les ai bien eus ! Mais je me sens bizarre... Et il s’écroule. Saori n’avait pas lâché son pouce, elle avait mordu dedans, et Ayoros avait perdu trop de sang. ... Retour dans la maison du Sagittaire... Astérion et SuperCarton continuent de pleurer ; le chevalier de l’Eléphant Rose les rejoint. Il lit le testament et pleurniche lui aussi. Nous retournons à présent au château de Jean et Jeanne... Rappelons que Syd est chargé de s’occuper des enfants Jeannot et Jeannette. Syd : Bande de petites pestes ! Revenez ici ! Jeannot est armé d’une fronde et Jeannette d’un pistolet lançant des flèches en plastique. D’ailleurs, Syd en a sur le nez, le front et les deux joues. Bud, lui, s’occupe de nourrir les poissons. Il est sur une chaise au-dessus du bassin des requins et leur jette des poissons. Mais la chaise finit pas céder et Bud tombe dans le bassin. Bud : Au secours ! ! ! Les requins semblent avoir particulièrement faim, car ils poursuivent Bud. Requins : Mais non, c’est pas ça ! C’est juste que ce genre de poisson-là, on n’en mange jamais et on aimerait bien goûter ! Bud arrive à s’échapper en sautant hors du bassin... pour atterrir dans un autre. Bud : Pas de danger ! Ce sont de petits poissons... Aïe ! Il est dans le bassin des piranhas. Bud : A l’aide ! ! ! Siegfried, de son côté, continue à tondre la pelouse. Siegfried, suant : Plus que 5000 mètres carrés... Et enfin Hagen fait la lessive. Il a put expérimenter la machine à laver intelligente, qui attrape les vêtements pour les laver. Mais elle avait attrapé les vêtements de Hagen et l’avait aspiré avec. Hagen vient enfin d’en sortir ; il est pendu au sèche-linge. L’émission ‘Fort Oseille’ continue... Toll dois maintenant passer deux aventures pour avoir les indices nécessaires afin de découvrir le mot code. Il est de nouveau chez le Grand-père Gaga pour une énigme. Gaga : Voici... les trois... définitions... Mon premier indice... est un mot... Toll : Sans blague ? ! Gaga : Mon premier indice... est une chose... Toll : Ouah ça m’aide vachement... Gaga : Et enfin... Mon premier indice... est ce que fait Windows pour emmerder l’utilisateur ! Toll : Il plante ! Gaga : Bravo ! Le premier indice est le mot ‘plante’ ! Toll redescend pour faire la deuxième épreuve. Cristal, le présentateur : Vous avez échoué, hein ? Toll : Non ! Le premier indice est ‘plante’ ! Cristal : Zut ! Mais vous ne réussirez pas l’épreuve suivante, les mygales ! Toll entre dans le repaire des mygales. Il en prend une et lui retire le bout de papier qu’il y a dessus. Cristal, pensant : Hé ! Hé ! Hé ! Tu peux toujours chercher, tu ne trouveras pas ! Il n’y a aucun indice sur les papiers ! Toll continuent à chercher, en vain. Ils voient que les mygales sont effrayées, alors il les caresse. Mygale : Merci... Toll : Quoi ? ! Tu parles ? ! Mygale : Ben quoi ? ! Toi aussi, tu parles ! Toll : T’es douce ! Mygale : Ah, je vois ! T’es gentil avec moi pour que je te dise l’indice ! Toll : Mais non ! Mygale : Si, je le sais ! Mais jamais, tu m’entends jamais, je ne te dirai que l’indice est ‘argent’ ! Toll : Compris... Mygale : Pars maintenant, je déteste les lèche-bottes ! Toll s’en va et rejoint Cristal. Cristal : Alors, t’abandonne ? T’as qu’un indice ! Toll : Non, deux ! Le second, c’est ‘argent’ ! Cristal : Comment t’as fait pour le savoir ? ! ... Il est temps d’aller à la salle du trésor... Pour entrer le mot code, tu dois poser tes mains et tes pieds sur les dalles correspondants aux lettres qui font partie du mot. Toll : Mais c’est impossible ! Le mot fait plus de quatre lettres ! Cristal : Tant pis ! Tu te débrouilles ! Il te reste une minute ! Toll entre dans la salle du trésor et arrive à occuper les sept lettres du mot code : deux avec ses pieds, deux avec ses bras, une avec sa tête et les deux dernières avec ses haches. Cristal : Comment il fait ? ! Toll a réussi à appuyer sur toutes les dalles nécessaires et l’oseille tombe ! Cristal : T’as plus que 30 secondes ! Avec ses grands bras, Toll prend les feuilles d’oseille et les met dans son pantalon. Cristal : Sensationnel ! ! ! Il a tout réussi ! ... Quelques explications concernant le mot code... Toll : Pas la peine ! Tout le monde a trouvé ‘oseille’ ! Les chevaliers de Carton vont arriver dans le temple du Capricorne... Ichi : Yaaaaa ! ! ! SCRATCH ! Ichi s’entraîne sur la statue d’Athéna que Shura a placé chez lui ; il lui donne des coups de griffes. Ichi : Je suis pas encore assez rapide... Où j’ai pas encore enfoncé mes griffes ? Dans la tête de la statue ! ... Yaaaaa ! ! ! CRAAAAAC ! La tête de la statue vient de se détacher. Ichi : Tiens, j’ai déjà vu cette tête quelque part... C’est pas celle de... Aaaaah ! ! ! C’était une statue d’Athéna ! ! ! Shura va me tailler en pièces quand il l’apprendra ! ! ! SuperCarton et Flapflap viennent d’entrer. Ichi : Tout n’est pas perdu ! Je les bats et je les accuse à ma place ! ... Arrêtez-vous ! SuperCarton : Je ne me suis pas encore défoulé... Je crois que c’est le moment... Ichi : Par les Griffes de l’Hydre ! ! ! Ichi se jette sur SuperCarton, qui l’a facilement évité. SuperCarton, avec un papier jaune dans une main : Carton Jaune ! C’était un avertissement ; la prochaine fois que tu m’attaqueras, tu le regretteras ! Ichi, apeuré : Euh... Dans ce cas, passez ! SuperCarton voit la statue de la déesse Athéna trouée par les coups de griffes d’Ichi. SuperCarton : Tu n’as même pas de respect pour la déesse que tu défends ? ! Ichi : Attends, laisse-moi t’expliquer ! SuperCarton : Disparais ! Par le Carton Rouge ! Ichi vient de s’évaporer. SuperCarton : En route, Flapflap. Nous y sommes presque ! Le Pope commence-t-il à douter ? Pope : Moi, douter ? Les chevaliers de Carton n’arriveront pas jusqu’ici ! Narrateur : Alors pourquoi essaies-tu de te cacher ? Pope : Me cacher, moi ? ! Jamais ! ... Mince alors, ce placard est trop petit... Et ce coffre est trop étroit... Nous n’avons pas eu de nouvelles de Saori... Frigoman : Sa peau devient bleu, mais elle est encore en vie... La température n’est seulement que de -5 degrés ! Saori : Glaglagla... Que quelqu’un me sorte de l’Igloo Funeste ! ! ! Que font les chevaliers et les Guerriers Divins ? Jabu : J’attends que l’éléphant rose se lève car il s’est assis sur moi... Bud, battant tous les records de nage : Au secours ! ! ! Les godzillas essaient de me bouffer ! ! ! |